Ambassade Venitienne

Ambassade de Venise

C'est avec plaisir que le Sultan a fait construire votre ambassade sur son territoire. Nos 2 pays étant voisins, il est bon pour eux de pouvoir communiquer facilement, et c'est desormais le cas.

Nous sommes ravis de cette ambassade et nous y envoyons notre plus haut dignitaire d'origine ottomane, Pietro Ahmed-Guazzanni. [HRP] [HRP]

A l'administration ottomane,

Ma lettre à votre ambassadeur n'ayant pas eu de suite, je m'adresse à vous via mon ambassadeur;

Je vous ai fait une demande concernant le financement de votre ambassade à Venise.

Je vous prie de considérer cette demande.

Je vous remercie et vous salue respectueusement.

A Paolo Renier,

Mon ambassadeur ne m'a malheuresement pas communiquer votre demande, j'en suis profondémment désolé, je m'en vais le révoquer de ce pas.
Concernant votre demande de financement de ma propre ambassade, je vais y réfléchir, je sais que votre petit pays a du mal à soutenir le cout de ce type d'infrastructure.
Selon l'évolution de la situation actuelle due à la menace Russe, nous vous ferons suivre la décision que j'ai prise.

Avec tout mon respect,

Abdul Hamid Ier

Très Grand et Très Haut Sultan,

Je ne saurais que vous remercier de prendre en compte notre demande.

Nous sommes patient et nous comprenons la menace qui pèse.
J'en profite d'ailleurs pour vous informez de l'aide éventuelle -financière, bien entendu- que notre modeste Etat pourrait vous apporter.

Merci encore pour votre attention à notre égard.

A Paolo Renier,

La missive que je viens de recevoir de vous est des plus plaisantes. Je prends en compte votre proposition d'aide financière dans une éventuelle possibilité de détérioration des évenements, ceci est des plus aimables à vous de me le proposer.

Je suis satisfait de voire que Venise sait toujours être patiente, et c'est donc encore une fois à ceci que j'appelle, la patience.

Mais avant tout, nous vous promettons que si la situation redevient calme, le financement de mon ambassade dans votre territoire est acquise.

Avec tout mon respect,

Citation :

Au sultan de la Grande Porte,

Au nom de la République de Venise, le Grand Conseil vous témoigne son respect et son admiration. Depuis quelques années, et surtout depuis l'avènement du doge Paolo Renier, la République a menée une politique d'ouverture envers l'Empire Ottoman.

Aussi nos relations sont-elles les meilleures qui soient en ce bas monde, et le temps des tensions entre nos Etats, aussi différents soient-ils, est révolu. C'est dans cette optique que nous avons à transmettre deux messages. Le premier concerne nos ambassades. Comme discuté plus tôt, l'Empire s'engageait à financer notre ambassade ottomane dès que les tensions de la guerre du Nord, seconde du nom, seraient passées. Or cette guerre a bel et bien pris fin, d'où la réitération de notre demande.

Secondement, nous vous informons que nous souhaiterions vous demander une protection militaire momentanée, et sans traité ni contrat durant la crise autrichienne. Certains mouvements de troupes autrichiennes nous angoissent et nous souhaiterions que vous les dissuadiez de fondre sur Venise ; notre armée risque en effet de ne pas pouvoir rester à Venise constamment dans les temps avenirs proches. La sécurité d'un peuple qui vous estime et d'un commerce qui vous enrichi en dépendent.

La guerre étant imminente, les questions de commerce entre nos deux Etats suivront ultérieurement, mais sachez dès lors que nous sommes attachés à établir des liens commerciaux très importants avec votre Empire richissime.

Avec tout notre respect et notre profonde considération;
Paolo Renier et le Grand Conseil de Venise

"Ô grand Doge de Venise,

Sachez que les finances de l'Empire Ottoman sont en retard,et nous ne voulons pas nous mettre sur le dos d'autres dépenses tant que cela ne sera pas règlé,c'est donc pour cela que nous refusons de payer l'entretien de votre ambassade,pour le moment.
Quand les finances seront mise à jours,alors nous réutidieront la question et nous pensons pouvoir payer vos frais d'ambassade.

Vous voulez que nous défondons vos villes contre l'envahisseur Autrichien?Nous ne pouvons nous permettre d'être en conflit contre l'Empire d'Autriche,si c'était le cas,nous ne pourrions même pas assurer la défense de nos propres villes.Alors nous n'assureront pas les votre,vous semblez avoir oublié la révolution en Egypte qui mobilise la plupart de nos troupes.
Nous sommes donc dans l'impossibilité de vous protéger à notre grand regret.

Nous sommes désolé pour cette réponse négative mais nous ne pouvons faire mieux.

Cordialement,

Yusuf Ziya Pasha,Grand Vizir de l'Empire Ottoman."