Congrès de Suttgart

Congrès de Stuttgart


Le Congrès se tient dans le Grand Palais du Duc de Wurttemberg, protègé par la Garde Impériale Autrichienne et méticuleusement fouillé auparavant, dans la capitale Stuttgart, où patrouillent en permanence les milliers d'autrichiens assurant la surveillance de la ville.
Les soldats autrichiens ont pour ordre de faire règner l'ordre et le calme dans la ville et des campagnes, de pacifier le pays et de ne faire feu ou de charger qu'en cas de dernière extrémité.


Sont conviés à ce Congrès :

Son Excellence Anton Apponyi, ambassadeur d'autriche en Bavière et dépêché à Stuttgart pour représenter l'Empire d'Autriche.
Sa Majesté Frédéric-Guillaume II, roi de Prusse, attendue très prochainement.
Son Altesse Frédéric-Auguste III, Electeur de Saxe.
Des représentants du peuple wurttemburgeois révolté.
Des observateurs danois, sans droit à la parole.

Sa Majesté Charles II, actuellement souffrante du coeur et soignée par les meilleurs médecins Autrichiens, est momentanéement absente de ce Congrès mais invitée à y participer ultérieurement si Son état le permet. Sa Majesté sera représentée par Son Excellence Anton Apponyi durant Son absence.

Tous les couloirs et les salles du palais sont surveillés par des grenadiers de la garde Impériale Autrichienne. Tous les membres du Congrès se voient retirer leurs armes avant d'entrer dans la salle, méticuleusement fouillée auparavant, et une fouille au corps est effectuée sur les représentants du peuple afin de déceler d'éventuelles armes cachées.
Les fenêtres sont fermées, volets ouverts, avec des grenadiers sur le balcon.
Toute personne n'appartenant pas à la garde ou à l'escorte autrichienne, prussienne, saxonne, ou ducale wurttemburgoise se verra refuser le droit d'entrer dans la salle. (j'espère avoir été assez clair pour les animateur ^^)

Depuis Stuttgart,au loin on pouvait voir une grosse forme sombre,de plusieurs métres en longeurs.Cette ombre était en fait l'escorte Prussienne de Sa Majesté Frédéric Guillaume II.
3 000 soldats de la garde et 9 000 dragons acompagnaient Sa Majesté Prussienne.Quand ils arrivérent à Stuttgart,les portes s'ouvrirent,6 000 cavaliers restérent aux alentours de la ville,le reste entra dans Stuttgart.

Les 3 000 cavaliers restant se mirent à patrouiller dans la ville qui grouillé de soldats,les 3 000 soldats de la garde escortérent Frédéric Guillaume II au palais du Duc de Wurttemberg.
Le roi descendit de son cheval et 500 hommes de sa garde l'accompagnérent jusqu'au palais.Le reste se disperserent aux environ du palais,surveillant entrée principale et secondaires.
Le roi attendait que quelqu'un vienne l'acceuillir.

Votre majeste,

Tout dabord nous souhaitons vous remercier de la concession que vous nous faites. Nous avons beaucoup insiste pour etre present a ce congres. Neamoins, des affaires auassi importantes que celles du Wurtemebrg menacent les interets du Danemark. Vous nosu avez montre que vous etiez digne de bonne foie, et nous nous excusons des accusatiosn passees. De plus, nous pensons que notre ami SM prussienne saura representer les protestants. Nous annoncons que nous nous retirons officiellement de la question Wurtembourgeoise, mais nous esperons sincerement que tous les parties sauront prendre la bonne decision. Nos troupes stationnees a la frontiere retournent au Danemark.
Messieurs autrichiens et prussiens, nous comptons sur vous

Son Excellence Anton Apponyi, descendit alors les marches, entouré de soldats de la Garde autrichienne. Les deux gardes se jaugèrent du regard, les soldats Autrichiens dans leur tenue de parade immaculée, les prussiens dans leurs habits de campagne noirs.

C'était là deux mondes qui s'affrontaient silencieusement : le monde Impérial et catholique de l'élégance et du luxe affiché, contre le milieu protestant de l'austérité. On pouvait lire de sombres pensées voiler les yeux des soldats des deux pays lointains ennemis. Un seul lien unissait ces soldats : ils étaient allemands, et c'est ce qui les avait ammenés ici.

Sentant cette hostilité, l'Ambassadeur de Son Altesse Impériale et Royale descendit une marche supplémentaire, fit une courte courbette, et dit à Sa Majesté Frédéric Guillaume II :

"Votre Majesté, c'est un grand honneur qu'il nous est donné de Vous avoir en personne pour ce Congrès. Mon Empereur souhaite ardemment que la paix règne sur les terres du Saint Empire romain Germanique. LEurope a sombré dans une guerre où Nous étions côte à côte face aux envahisseurs scandinaves. Veillons maintenant à ce que Nos troupes ne se fassent pas face sur le champ de bataille.
Votre Majesté, veuillez me suivre."

L'Ambassadeur fit alors demi-tour, et, d'un signe discret, indiqua aux soldats de la Garde Impériale de remonter les marches du palais en bon ordre. Le Congrès pouvait commencer.

Frédéric Guillaume monta les marches et entra dans le palais,il fut fouillé et entra dans une grande pièce,il y avait siège et tables.Il s'assit sur un de ces siège et attendit prenant un verre d'alcool.
La réunion allait commencer dans peu de temp,et Sa Majesté Prussienne s'en réjouissait.

Assistant de ses logis à l'arrivée de SM Prussienne, SA Saxonne s'était préparé et entrait, assez discrètement, mais en saluant ses interlocuteurs, en la salle ou se allait se tenir le Congrès

Mes Amis, l'heure est grave,
Les Révolutionnaires approchent, ils sont à 4 jours de marche de la ville, et attaqueront si rien est fait d'ici cette durée, ce qui provoquera une effusion de sang.
Aussi, je propose que la Régence du Duché du Wurtenberg soit assurée par ces révolutionnaires, sous les bienveillant conseil et le contrôle des autorités Allemandes et Autrichiennes.

Son Excellence Anton Apponyi se leva et prit la parole.

Messieurs, Nous voici enfin presque tous réunis pour entamer ce Congrès de Stuttgart. Il ne manque plus que les plénipotentiaires du peuple révolté, mais il semble hélas que ces gens privilégient l'action armée aux discussions entre gens civilisés.

Il semble en effet, Messieurs, que des révolutionnaires soient en ce moment même en train de marcher sur Stuttgart. Leur nombre est proche de 10 000, mais il semblerait que leurs forces s'accroissent d'heure en heure.

Sachez, Messieurs, que l'Autriche n'entamera aucune action armée tant que la diplomatie est possible. Soyez également assurés que Votre sécurité à tous est garantie ici, à l'intérieur de la ville.

Nous demandons à Leurs Majestés protestantes de tenter de règler la situation par la diplomatie, et de convier à nouveau des représentants du peuple parmi Nous.

Toutefois Messieurs, si dans quelques jours la situation n'avance pas, Nos troupes seront dans l'obligation de barrer la route aux révolutionnaires en marche.

Prions pour que ceci ne se termine point en massacre, et que la plume soit toujours préférée à la poudre.

Après ces longs débats officieux, Nous Nious félicitons de la tournure des débats. Ce Congrès fut un succès !

Toutes les troupes qui escortés Sa Majesté Frédéric GUillaume II,étaient prête à partir.300 cavaliers étaient déja parti en éclaireur,le reste suivait.
Enfin,les ordres furent donnés de se mettre en route,les armées Prussiennes allaient rejoindre le camp qu'ils avaient établi au nord.Puis ils rentreront à Berlin.