Ambassade de Grande-Bretagne

Au nom de Notre Bien-Aimé Roy Louis le XVIIIème du nom, s'ouvre ce jour ici-même à Paris l'ambassade de Grande-Bretagne en France. Puisse cette inauguration augurer de fructueux échanges entre nos deux grandes nations à l'avenir.

Comte Vergennes, Ministre des Affaires Etrangères du Roy de France

Un courrier parvient dans cette nouvelle ambassade, il est frappé des armoiries de Georges III.

sur la missive il y a écrit:

"Salutations de Sa Majesté Georges III à Son Altesse Louis XVIII

Votre Altesse,
Sa Majesté Georges III se réjouit de l'ouverture de cette magnifique ambassade et vous en remercie chaleureusement, puisse-t-elle être le siège d'échanges cordiaux et fructueux entre Vos deux Nations.
Lord Humphrey sera le représentant de Sa Majesté en ce lieu et est à Votre entière disposition pour toute demande diplomatique.

De plus, la Couronne Britannique soucieuse de nouer des liens étroits avec Votre Glorieux Royaume désire Vous présenter une proposition d'accord commercial.
L'objet en serait l'achat mensuel de vin (12000 litres pour un montant de 72000 pièces d'or) et de porcelaine (300 kgs pour un montant de 36000 pièces d'or).

Si cette proposition Vous agrée, Sa Majesté serait enchantée de commercer avec Vous.

Avec tout mon respect,
Lord Frederick North, Premier Ministre,
par l'entremise de Lord Humphrey, ambassadeur de la Couronne Britannique"

Transmis par Lord Humphrey, de la part de Lord Frederick North, Premier Ministre de la Couronne Britannique à Son Altesse Louis XVIII

Votre Majesté,

C’est avec un immense honneur que Notre Royaume a entendu Votre réponse positive à Sa proposition de commerce.
En effet Vos vins et porcelaines sont fort réputés et Sa Majesté ne doute pas des excellentes relations qui vont se tisser entre Nos deux Pays, un tel accord ne pouvant être qu'un prémisse.

Voici la Proposition qu'Elle peut d'ors et déjà proposer à Votre Majesté.

Citation :

Traité de Commerce entre la France et la Grande Bretagne :


Article I : Des marchandises achetées

La Grande Bretagne s’engage à acheter chaque mois à la France 12 000 Litres de Vin pour la somme de 72 000 pièces d'or.

La Grande Bretagne s'engage à acheter chaque mois à la France 300kg de Porcelaine pour la somme de 36 000 pièces d'or.


Article II : De la libre circulation des marchandises

Les parties contractantes s'obligent à laisser transiter et circuler librement les marchandises, objet du présent traité, lesquelles ne pourront être soumises à restriction, contrôle d'accès ou taxation de quelque nature que ce soit.
Les négociants des parties contractantes peuvent librement traverser les territoires des parties et vendre leurs marchandises sur les territoires de la Couronne Britannique sans préavis, dans la limite de l’approvisionnement décrit ci-dessus.
Tout excédent de marchandise pourra toutefois être fourni en cas de demande des négociants anglais, dans les limites de la capacité d’exportation de la Couronne Française.


Article III : De la modification du traité

Le présent traité pourra être modifié par voie d’avenants, en tant qu’il ne remettent pas en cause l’essence même du traité ni en contredisent les termes. En ce cas, et à défaut d'accord entre les parties, toute modification sera considérée comme nulle et non avenue.


Article IV : Entrée en vigueur et fin du traité

Ce traité entrera en vigueur dès la signature par les deux parties et sera valable un an, reconductible expressément à cette échéance, d’un commun accord, par les parties contractantes.[/i]

En espérant que cette proposition Vous agrée

Avec tout mon respect,
Lord Frederick North, Premier Ministre de Sa Majesté Georges III.

Transmis par Lord Humphrey, de la part de Lord Frederick North, Premier Ministre de la Couronne Britannique à Son Altesse Louis XVIII

Votre Majesté

Depuis une année nos deux couronnes commercent dans la plus parfaite intelligence de part et d'autre du channel.
Sa Majesté George III souhaiterait vivement que ce traité soit reconduit et éventuellement enrichi par des besoins que Vous pourriez exprimer.

Dans l'attente de Votre réponse

Avec tout mon respect,
Lord Frederick North, Premier Ministre de Sa Majesté Georges III

A remettre à SM Britannique, de la part du Roy de France

Votre Majesté,

Nous avons bien reçu votre lettre, qui nous fait part de votre parfaite satisfaction du Partenariat Commercial que nous avons signé voici un an.
Sachez que de l'autre côté de la Manche nous partageons le même sentiment que Vous.
Ce Traité nous convient parfaitement, et donnons notre accord pour qu'il soit reconduit dans son intégralité.

Veuillez croire en notre profonde gratitude,

Louis

Transmis par Lord Humphrey, de la part de Sir James Murray, Ministre du commerce de sa Majesté Britannique à son altesse Louis VXIII

Votre Majesté,

C'est avec un immense honneur que nous avons bien reçu votre lettre nous donnans votre accord sur la reconduction du traité commerciale entre nos deux royaumes.

Voici le traité tel qu'il a été rédigé et signé voici un an.


Traité de Commerce entre la France et la Grande Bretagne :

Article I : Des marchandises achetées

La Grande Bretagne s’engage à acheter chaque mois à la France 12 000 Litres de Vin pour la somme de 72 000 pièces d'or.

La Grande Bretagne s'engage à acheter chaque mois à la France 300kg de Porcelaine pour la somme de 36 000 pièces d'or.


Article II : De la libre circulation des marchandises

Les parties contractantes s'obligent à laisser transiter et circuler librement les marchandises, objet du présent traité, lesquelles ne pourront être soumises à restriction, contrôle d'accès ou taxation de quelque nature que ce soit.
Les négociants des parties contractantes peuvent librement traverser les territoires des parties et vendre leurs marchandises sur les territoires de la Couronne Britannique sans préavis, dans la limite de l’approvisionnement décrit ci-dessus.
Tout excédent de marchandise pourra toutefois être fourni en cas de demande des négociants anglais, dans les limites de la capacité d’exportation de la Couronne Française.


Article III : De la modification du traité

Le présent traité pourra être modifié par voie d’avenants, en tant qu’il ne remettent pas en cause l’essence même du traité ni en contredisent les termes. En ce cas, et à défaut d'accord entre les parties, toute modification sera considérée comme nulle et non avenue.


Article IV : Entrée en vigueur et fin du traité

Ce traité entrera en vigueur dès la signature par les deux parties et sera valable un an, reconductible expressément à cette échéance, d’un commun accord, par les parties contractantes.[/i]


Dans l'attente de votre signature,

Avec tout mon respect,
Sir James Murray, ministre du commerce de sa Mjesté Georges III.

En tant que Regent du Royaume de France, nous approuvons la reconduction du précédent Traité. Nous vous faisons confiance pour le placardage officiel de ce Traité que nous nous ferrons une joie de signer.

Charles IV, Regent de France