Le Doge déclara à l'ambassadeur nouvellement arrivé, après l'avoir écouté :
"Nous sommes comblés de joie par votre déclaration. Je crois que nos deux Etats sont faits pour s'entendre, et que la politique du nouveau Président a trouvé un allié en moi-même.
Si vous insistez pour financer l'établissement de votre ambassade chez nous, nous en sommes plus que ravis, et agréablement surpris. Un tel geste ne sera pas oublié.
Quant à l'éventualité d'un traité, j'y suis personnellement favorable. Même militaire. Si vous vous le souhaitez, écrivez un essai de traité que vous pourrez nous proposer, afin que nous l'étudiions. Je ne doute pas que nous arriverons rapidement à un accord. Vous comprenez, nous ne pouvons nous lancer actuellement dans la rédaction d'un traité étant donné tous les problèmes que nous devons affronter, en ce moment.
Vous êtes en tout cas les bienvenus, et nous sommes ravis de poser les bases d'une amitié nouvelle, et franche! qui je l'espère durera ! Longue vie à la Confédération ! Longue vie à la République !"