Bureau du Cardinal Giovanni di Gioi

Ce bureau du Palais des Doges est destiné à la gestion des affaires du Cardinal Giovanni di Gioi.

Le Cardinal y fera toutes ses propositions et y annoncera ses projets et décisions.

Le cardinal Giovanni di Gioi vous remercie humblement de cette place toute particulière que vous lui offrez.

Mon Père,

Cela nous permettera de mieux collaborer; les réformes nouvelles vont nous pousser à nous investir encore plus dans la gestion du commerce, des ressources et autres...

En votre qualité de Président du Grand Conseil de Venise, je vous demande de préparer un dossier sur les projets de construction;

pour ma part, je ne souhaite que mettre le point sur le domaine maritime.

Mon père,

suite à l'accident dû au manque de maintenance des bâtiments, je vous demande de prendre en compte, dans le budget du mois de décembre, la somme de 30.000 PO versée pour les réparations directes.

Prévoyez aussi, je vous prie, des modifications dans un futur proche, de notre politique.

Amicalement

Mon père,

Suite à la folie du jeune Charles-Albert, il nous faut nous mettre en état d'alerte; une guerre est peut-être en vue.

Mon père,

Considérez je vous prie les coûts dus aux constructions et aux recherches technologiques dans le mois voyant leur mise en place.
Vous trouverez toutes les données dans les registres du Ministère des Affaires Intérieures:
https://gloireimperiale2.superforum.fr/viewtopic.forum?t=747

Venant de France, une lettre arrive, marquée du sceau personnel du Doge:

"Mon Père,

Veuillez je vous prie remettre les troupes en état d'alerte;
une intervention contre le Portugal est possible."

Mon fils,
la totalité des troupes est prête à effectuer tout mouvement que vous ordonnerez.

Le Président du Grand Conseil écrivit la lettre qui suit et l'envoya à Milan...

"Mon fils,

Je comprend très bien que votre passage furtif ne put vous permettre de venir me voir. Nous aurons cela dit tout le temps de discuter ensemble une fois nos affaires respectives réglées.

Je vous répond aussi que je suis actuellement sur le dossier des maintenances de la cité; l'affaire sera vite réglée, je l'espère.

Enfin, je me charge de réinstaurer la taxe sur les héritages. Etant Cardinal, je sais que l'Eglise à besoin de ces rentrées d'argent pieuses, mais je sais, et cette fois en tant que Président du Grand Conseil, que Venise en a encore plus besoin.

Dieu vous garde et vous guide."

De Frédérico Lorédan au Président du Grand Conseil :

"Mon père,

Nos frégates sont de retour; il faudra à nouveau les prendre en compte dans le bilan des finances.

Aussi, je vous prie de préparer la loi sur la taxe des héritages du clergé.

Avec tout mon respect."

Affairé à son bureau, le Cardinal reçoit la lettre de F. Lorédan, la lit et se met à la plume pour lui répondre :

"Mon bien cher et bien estimé Chevalier Lorédan,

Je vais remettre le budget à jour en tenant compte du retour de nos frégates et je crois que d'ores et déjà nos charpentiers s'affairent sur elles.

Je me charge aussi des instructions aux ingénieurs en ce qui concerne la maintenance ainsi que de la loi de taxes sur les héritages du clergé.

Bien à vous, et que Dieu vous garde."

"Mon père,

je croyais la France et l'Espagne, mais aussi le Saint-Siège, attachés à une signature rapide du traité. Mais ce que je vois me fais croire - peut-être accroire?- que lesdites puissances se désintéresent totalement de l'issue de cette guerre , alors que pourtant durant son paroxisme, ils se disaient si malheureux de devoir la mener; en effet, tant que l'Autriche n'aura pas signé le traité de Rome, la guerre continuera officiellement, et aucun de nous ne pourra jouir de ses dédomagements.


Je compte donc sur vous pour que vous écriviiez prestement aux chefs de la diplomatie de chacun des pays concernés pour leur demander de presser l'Autriche de signer."