Rencontre extraordinaire entre M. Martin et SM Guillaume V

Monsieur c est un plaisir de vous rencontrer.
Tout d abord nous tenions encore a m excuser pour cette mise en quarantaine qui a du vous paraitre brutale et dont on vous a deja expliqué la necessitée.
Nous irons droit au but, car d autres affaires urgentes nous appels a commencer par la guerre en france, et les affaires d Etats.
Voila de quelle maniere nous desirerions traité les affaires en a minimuml d une semaine si possible.
Votre emploi du temps que nous avons etabli sera a la vitesse du mien. Nous sommes sincerement desolé de vous infliger cela, mais nous sommes seul pour diriger notre pays.
Tout d abord, dès se soir afin de vous presentez a la cour et au gouvernement, nous vous avons preparer un banquet en votre honneur.
Dès demain nous commencerons la journée, avec:
_l affaire Venitienne
_Concernant le Brunswick
_la guerre en France
_les nouvelles ideologies qui emannent de partou en europe, notemment du Wurtemberg et de France
_De vos intentions futurs
_D un traité commercial favorable a nos deux Etats.

Et pour finir toutes ces seances, un banquet en votre honneur sera donne pour votre bon retour positif a Lisbonne.
Naturellement, la premiere affaire se deroulera a hui clos en presence de mon ministre des affaires etrangeres en temoin de nos bonnes foi.
Concernat les affaires 3 5 et 6 il sera fait de meme, en presence de la porsonned e notre choix, et du votre, il va de soit.
Concernat le reste je vous propose que l on en discute devant notre cabinet et vos adjoints.

C'est fort aimable de votre part, nous avons hâtes de commencer ces négociations.
Nous savons le temps de SM o combien précieux, et tacheront d'être le plus efficace possible soyez en sûr.

Sur ce, celui-ci s'inclina et suivi SM.

le Prince qui venait de sortir du conseil des ministres, se rendit directement dans les appartements de M. Martin afin de s entretenir avec lui.


"Monsieur, je suis sinceremnt navré du spectacle que vous avez l occasion de voir, il a ete des plus touchant pour nous, voir notre souverain et notre pere mourrir ainsi de mort si violente.
Nous vous remercions d etre venu, et de la presentation de vos condoleances, car aujourd hui le peuple entier pleur sa disparition,et votre peine ajouté a la notre nous montre que nous avons bien des amis en Europe et que le Portugal desire reelement entretenir des relatiosn amicales avec le Royaume des Provinces-Unies.
Voyez vous M., notre pere a fait un testemment qui du point de vue de mon jeune age et de mes etats de santé, il a eu l idée de nommée son grand ami et desormais notre frere, roi des Provinces-Unies si par malheur notre pere mourrait. Donc desormais, les Provinces-Unies appartiennet a la Suede, et je crains que vous n ayez plus rien a fair een notre pays. Si vous desirez quoique se soit, il faudra desormais negocier avec l empire de Suede!
Si vous le desirez vous pouvez resté jusqu au funeraille de notre pere.
Merci encore M.!"