Ambassade du Royaume de Grande-Bretagne

Sa Magestée le Roi Charles IV ouvre pour son Amis et Voisin ce lieux ou les diplomaties Anglaises et Espagnoles pourront s'exprimer.
Nous attendons l'arrivée de l'Ambassadeur Anglais qui je l'espere se plaira dans notre belle Capitale.

Ce sera le Marquis Vazquez de Figueroa qui sera votre interlocuteur privilégié.

Avec mes amitiées,
Comte de Oropesa, Ministres des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volontée

Salutations à Sa Majesté Charles IV, Roi de l'Espagne de la part de Sa Majesté britannique,

Votre Majesté,

Le gouvernement de Sa Majesté britannique vous remercie de votre cadeau de cette ambassade.

Notre ministre des affaires étrangères, Sir George Canning, m'a rendu un grand honneur en nommant ma personne comme représentant de Sa Majesté auprés de Votre Majesté.

Nous esperons que les relations entre nos deux pays seront mutuellement bénéficiaire.

Cordialement,



Sir Stephen Ladywright
Ambassadeur de Sa Majesté britannique en Espagne.

Nous sommes tres heureux de votre nomination et nous esperons que vous vous plairez dans notre beau pays.
Que les relations entre nous soient au beau-fixe, je l'espere de tout coeur en tout cas, et nous travaillerons dans ce sens soyez en sur.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Salutations à Sa Majesté Charles IV, Roi de l'Espagne de la part de Sa Majesté Britannique,

Nous vous informons également que le gouvernement de SM Britannique à commencé la construction d'un port maritime et d'une compagnie commerciale, afin de pouvoir commercer avec le royaume d'Espagne.

Ces projets seront achevés pour la nouvelle année.

Cordialement,

Sir Stephen Ladywright
Ambassadeur de Sa Majesté Britannique en Espagne.

Nous vous remercions pour cette mise au point qui est la bienvenue.
Mais etant frontaliers, nous penssions qu'il etait inutile de faire toutes ses infrastrucutres.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

A Lord Fox, Premier Ministre du Royaume de Grande Bretagne et d'Irlande,

Tout d'abord, veuillez recevoir nos felicitations pour votre accesion au poste de Premier Ministre du Bon Roi George III.

En ce qui concerne votre proposition, nous ne pouvons qu'y etre favorable. En effet, ayant passer ulterieurement un Traité Commercial entre nos deux Nations, ainsi que l'aide qu'apporte George III a notre Expedition, geste qui ne sera pas oublié, nous penssons qu'une Alliance ne peut etre que la bienvenue.

En ce qui concerne le lieu de rendez vous pour les negociations de la dite Alliance, nous ne pouvons vous proposer que Madrid. Point par chauvinisme, mais parce qu'il y a deja une reunion en cette ville afin que les Portugais et les Francais puissent arriver a un accord de paix.
Qu'en penssez vous ?

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Je suis heureux que votre réponse à la lettre de mon 1er Ministre ait été favorable. Je n'ai rien contre Madrid comme point de rendez-vous et je pense que Lord Fox sera heureux de s'y rendre lui-même. J'ai reçu à l'instant une lettre m'informant que la France désirait tout d'abord regarder la situation actuel diplomatique en europe avant de s'engager dans quoique que ce soit mais qu'elle était aussi pour une alliance de ce type. Je vous propose donc que la France puisse rejoindre cette Aliance si elle en avait envie.

Sir Stephen Ladywright
Ambassadeur de Sa Majesté Britannique en Espagne.

Sir Ladywright,

Nous sommes pour une Alliance qui regroupe nos trois puissances, nous sommes tres agreablement surpris que la Grande Bretagne propose une telle chose, cela nous comble de joie.
Pourrions proposer le Portugal comme 4eme participant a cette Alliance. En effet, cela permettrai de rammener durablement la paix en Europe "Atlantique", et puis le Portugal est un de vos allié de longue date. Quand a nous, le Roi Jean IV nous a prouvé a Tanger qu'il etait un amis en plus d'etre un Voisin, nous voudrions donc qu'il soit recompensé.

QU'en penssez vous ??

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Marquis Vazquez de Figueroa,

Et bien cela est en effet à discuté avec mon Gouvernement. Vous pourrez en faire part au 1er Ministre qui arrivera très bientôt chez vous.

Sir Stephen Ladywright
Ambassadeur de Sa Majesté Britannique en Espagne.

Nous sommes attristé de vous annoncer que notre Roi à mis son droit de véto sur le projet d'une alliance entre nos trois nations et que le Parlement l'a approuvé. Apparament, ils n'ont pas le même regard sur le futur que mon 1er Ministre.

Veuillez Agréer mes Sincères Salutations,

Sir Stephen Ladywright
Ambassadeur de Sa Majesté Britannique en Espagne.

Sir Ladywright,

Cette decision nous aflige fortement, mais peut etre qu'un Pact de Non-Agression serai un pas en avant entre nos Nations, qu'en penssez vous ?? Ce Pact deboucherai peut-etre eventuellement sur une alliance durable dans le futur, nous l'aimerions en tout cas.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Marquis Vazquez de Figueroa,

En effet un Pacte de Non-Agression est plus qu'interessent et je pense que Londres sera heureux de votre Proposition. Je transmetterai donc cette demande le plus vite possible. Nous vous annoncons également très bientôt la venue d'une flotte suplémentaire à Gibraltar.

Sir Stephen Ladywright
Ambassadeur de Sa Majesté Britannique en Espagne.

Voici donc le Traité prévu:

Citation :

Article 1) La Grande Bretagne et l'Espagne s'engagent à ne pas s'agresser mutuellement et à ne pas se nuire sous aucune couture que ce soit.

Article 2) Si un allié d'un des parties signataires venait à attaquer le second partie, le premier partie restera neutre dans cette Guerre.

Article 3) Si un des deux parties signataires ne remplirait pas les clauses de ce traité, il devra payer à l'autre 5 Millions de pièces en guise d'amende. Si cette ammende n'est pas payé, la guerre pourra être déclaré au partie coupable.

Article 4) Ce Traité à été signé entre le Glorieux Royaume de Grande Bretagne et le Somptueux Royaume d'Espagne en accord des deux souverains Georges III, Roi de Grande Bretagne et de Charles IV, Roi d'Espagne ainsi que de leurs gouvernements. Ce Traité est valable jusqu'en Février 1785, et évidamment prolongable.

Lord Fox,

Nous vous remercions d'avoir préparé ce Traité, et nous allons y reflechir. C'est une réponse qui demande réflexion vous en conviendrez, mais nous essaierons d'etre le plus bref possible.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Une missive arrive à l'ambassade espagnole


"Salutations A Son Altesse Royale Charles IV d’Espagne

Votre Majesté,

Dans le cadre du resserrement de nos liens commerciaux la Couronne Britannique désire vivement s’approvisionner en bois auprès de Votre Royaume.
Par suite, nous souhaiterions, par avenant, abonder le traité commercial qui nous lie actuellement en y ajoutant l’alinéa suivant :

« La Grande-Bretagne s’engage à acheter chaque mois 20 (vingt) tonnes de bois pour la somme de 60000 (soixante mille) pièces d’or. »

En espérant que cette disposition Vous agréera,

Avec mon profond respect."


Lord Frederick North, Premier Ministre
par l’entremise de Sir Stephen Ladywright, ambassadeur de Sa Majesté britannique en Espagne

Sir North,

Nous vous remercion de nous avoir si vite soumi votre proposition commerciale, qui nous ravie.
Mais cela dis, notre pays connait de graves difficultés financieres duent a l'operation au Maroc, et il nous faut des reserves de devises conséquentes.
Aussi, nous sommes au regret de vous demander d'accepter un tarif qui serai de 4000 pieces l'unité, soit en tout 80 000 pièces pour l'echange. Cela pourrai ainsi rembourser les risques que nous prenons pour le transport, et les couts de celui-ci jusqu'a chez vous.
Qu'en penssez vous ??

Il y a toujours moyen d'arriver a un accord.

Veuillez transmettre mes salutation a votre Roi.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

La réponse parvient en l'ambassade toujours par l'entremise de Sir Stephen Ladywright, ambassadeur de Sa Majesté britannique en Espagne

"Salutations A Son Altesse Royale Charles IV d’Espagne

Votre Majesté,

Nous avons bien compris Vos difficultés et Vous exprimons Notre plus grande compassion et estime.
Cette proposition qui emporte tout de même certaines conséquences pour le Trésor de la Couronne Britannique, sera transmise prestement à Sa Majesté Georges III et nous Vous informerons au plus vite de Sa réponse.

Pour ce qui concerne Vos besoins en capitaux, les financiers du Royaume Britannique seraient heureux de porter conseil aux Vôtres, la Grande Bretagne ayant une pratique efficace du lancement de souscriptions.

Avec mon profond respect.

Lord Frederick North, Premier Ministre"



(Edit Galatée : pour ta réponse en dessous je voulais dire dans ton propre pays : je ne vais pas non plus collecter de l'argent pour ton peuple... mais pas grave ^^ tu me prètes de nobles intentions et c'est bien me connaître^^)

Sir,

Nous vous remercions de votre compréhension, et nous vous demadons de nous excuser pour tous ses desagréments.

Quand a votre idée de souscription, le peuple espagnol n'est pas aussi avancé que le votre dans le domaine boursier, fait que j'espere corriger d'ici peu d'ailleur, et je ne pensse pas qu'il soit d'avis d'accepter de l'argent etranger, surtout venant d'un pays Protestant.
Ca n'est pas contre vous, mais nous devons faire en fonction de notre peuple car nous oeuvrons pour lui avant tout.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Une réponse parvient en retour, toujours par l'entremise de Sir Stephen Ladywright, ambassadeur de Sa Majesté britannique en Espagne

"Salutations A Son Altesse Royale Charles IV d’Espagne

Votre Majesté,

Sa Majesté Georges III a décidé d'accepter vos conditions.

Nous allons donc procéder à l'amendement ci-dessous du traité qui nous lie.

« La Grande-Bretagne s’engage à acheter chaque mois 20 (vingt) tonnes de bois pour la somme de 80 000 (quatre vingt mille) pièces d’or. »

Le traité est disponible pour ratification.

En restant à Votre entière disposition pour toute assistance ou conseil, comme nous vous l'avions précisé.

Avec mon profond respect.

Lord Frederick North, Premier Ministre"

Sir,

Nous sommes tres heureux d'avoir pu trouver un arragement avec vous, nous n'en attendions pas moins de Goerge III qui est tres compréhenssif avec ses partenaires.

Nous venons de modifier a l'isntand notre traité dans la rubrique officielle, vous pouvez le verrifier si cela vous chante.

Merci encore.

Avec mes amitiées,

Marquis Vazquez de Figueroa votre interlocuteur privilégié.

Une missive arrive sur le bureau de Charles IV, en provenance de l'ambassade de la Grande-Bretagne.

Citation :

"A Sa Majesté Catholique Charles IV,

Cher frère,

C'est avec un immense plaisir que Nous avons décidé de vous écrire afin d'accéder à la demande de mon neveu, le prince William Henry, Duc de Gloucester et Edinbourgh, qui est très épris de votre soeur, Son Altesse Royale Maria Josefa, depuis qu'il à vu son portrait lors d'une visite à l'ambassade de Votre Majesté à Londres.

En tant que père et mari, je puis comprendre ces sentiments qu'ils nourissent l'un envers l'autre, et attendri je vous propose de concrétiser cette passion.

Fait à mon palais de Buckingham le 10 juillet 1782,

Georges III"

Votre Majestée,

Nous prenons personnellement la plume pour vous annoncés qu'apres entrevue avec la Dite Demoiselle, nous avons finallement acceptés votre Proposition.

Il nous tarde de voir et de signer le contrat de mariage vous pouvez en etre certains.
Nous esperons que ce futur mariage liera avec des liens solides nos deux cours qui seront a coup sur d'un grand poid dans l'equilibre geopolitique continental.

Avec mes respects,

Charles IV, Roi par la Volonté Divine,
Amen

Sir Carthwright, après avoir reçu la réponse de SM Catholique, envoya immédiatement une lettre à l'attention de l'interlocuteur privilégié espagnole.

Citation :

My Lord,

Suite à l'accéptation de SM Catholique à la demande de mariage du prince William Henry, Duc de Gloucester et Albany, et la princesse Maria Josefa, nous vous soumettons le document suivant comme traité de mariage:

Article 1er
Son Altesse Royale, le prince William Henry, Duc de Gloucester et Edingbourg promet, avec le consentement parfait de son Sérénissime oncle, le Roi Georges le troisème, et sa Sérénissme tante, la Reine Charlotte, née Duchésse de Mecklenburg-Strelitz, de prendre et accepter pour son épouse légitime Son Altesse Royale Mme la Princesse María Josefa, et Son Altesse Royale Mme la Princesse María Josefa déclare également, sous le consentement et avec l’approbation entière de Leurs Majestés Catholiques Charles le quatrième, Roi d’Espagne, et Maria-Louisa, Reine d’Espagne, d’accepter et prendre pour son époux légitime Son Altesse Royale, le prince William Henry, Duc de Gloucester et Edingbourg ; les deux parties s’engagent à effectuer cette promesse réciproque de mariage, par la signature du présent contrat et ensuite par la bénédication nuptiale, laquelle sera célébrée à Madrid le « date à définire » selon les solennités, formes et rite de la religion de Leurs Majestés Catholiques.

Article 2
Sa Majesté Catholique promet et s’engage à constituer à Mme la Princesse Maria Josefa pour dot la somme de 50.000 PO. Cette somme sera payée à Madrid au sérénissme époux, ou à son fondé de pouvoir, contre due et bonne quittance, en argent comptant et de la manière suivante : le premier tiers après les cérémonies du mariage, le deuxième tiers douze mois après et le troisème six mois plus tard, de sorte que l’entier paiement de la somme susdite soit effectué en dix-huit mois de temps aux termes nommés. Il sera payé « à définir » pour cent d’intérêts de ce qui n’aurait pas été payé comptant.
Sa Majesté britannique assure ladite dot par une contre-dot de pareille valeur, dont cependant les intérêts, à raison de « à définir », ne seront exigibles qu’en cas de viduité sur le douaire fixé ci-dessous article 5.



Article 3
Sa Majesté britannique s’engage à donner de suite à son neuve Son Altesse Royale le prince William Henry et de son auguste épouse la jouissance du palais de Bath et de sa dépendance.

Article 4
Indépendamment de l’entretien de la maison de Son Altesse Royale la princesse Maria Josefa auquel il a été pourvu par l’article ci-dessus, il lui sera assigné pour ses dépenses particulières, celles de sa garde-robe y comprises, aussi longtemps qu’elle ne sera point douairière.

Article 5
Sa Majesté britannique constitutera et assignera à Son Altesse Royale la Princesse Maria Josefa une résidence convenable.

Article 6
Son Altesse Royale la Princesse Maria Josefa aura le libre excercise de sa religion ; ses enfants seront élevés dans la religion de la religion de la maison de Hanovre.

Article 7
Si Son Altesse Royale la Princesse Maria Josefa décède avant son époux sans laisser d’enfants après elle, Son Altesse Royale le prince William Henry continuera à jouit, pendant sa vie, de l’usufruit de la dot, des apports et des acquêts qui ne retomberont qu’après sa mort.

Article 8
Si Son Altesse Royale le prince William Henry vient à mourir avant Son Altesse Royale Mme la Princesse Maria Josefa et qu’il y eût des enfants, Mme la Douairière en sera la tutrice.

Article 9
Le présent traité sera ratifié et sa ratification échangée dans l’espace de quinze jours ou plus tôt si faire se peut. En foi de quoi le présent contrat a été expédié en double et signé et muni du sceau des commissaires respectifs de Sa Majesté britannique et Sa Majesté Catholique.

J'espére que Votre Excellence pourra me répondre dans les délais les plus brefs.

Cordialement,

Sir Stephen Carthwright
Amabasseur de SM Britannique en Espange

Votre Majestée,

Ce contrat de mariage nous parrait correct et nous l'acceptons meme si quelques termes nous parraissent obscurent.
En tous les cas, nous remercions Sa Majestée d'avoir fait l'essentiel des démarches pour lier ses deux etres.
Soyez sur que la dote sera payée en bonne et due forme, mais pour plus de commodités, elle le sera en une seule fois lors du Mariage, et nous avons décidés de la montée a 100 000 pieces d'or. Nous tennons a ce qu'ils manquent de rien dans leur future demeure.

Ceci dis, apres ces bonnes paroles, nous aimerions vous demander une faveur. En efet, ma soeur est de confession Catholique, et meme si vous la laissés aller a sa confession, ce qui est sois dit en passant pas une obligation, le choix lui appartiendra, nous savons que la Grande Bretagne n'est pas un modele de tolérance religieuse surtout envers les Catholiques. Aussi je vous demanderai, qu'amicalement bien entendu, de devenir plus tolérant envers les gens de ma confession, de la meme facon que je l'ai été avec vos gens de confession Protestante.

J'espere que vous accepterez mes requetes.
En tous les cas, la nouvelle de ce mariage m'emplit de joie.

Avec mes plus profonds respects,

Charles IV, Roi par la Volontée Divine,
Amen