Nonciature du Saint-Siège

Ceci est l'ambassade destinée au Saint-Siège.

Le Saint Père remercie Sa Majesté de Pologne pour cette nonciature. C'est moi, le cardinal Illiévitch, qui représentera le pontife en vu des echanges diplomatiques. Ce dernier est trés heureux que vous ayez accepter, comme toutes les autres nations catholiques mis a part le mécréant doge de Venise, la taxe pontificale. Je vous soumettrais bientôt les closes du traité.

Nous sommes d'accord.

Article 1
Il sera prélevé sur le territoire de Pologne une taxe mensuelle s'élevant à une pièce d"or par habitant du Royaume. (soit un total de 116 000 pièces d"or)

Article 2
Les revenus ainsi récoltés iront de juste droit dans les caisses pontificales

Article 3
Le pontife s'engage a défendre le Royaume de Pologne et son peuple sur la scéne autant internationale que nationale.

Voilà ce que le saint père vous propose. De plus, ne signez pas de traité commercial avec l'hérétique Dannois! Les etats pontificaux vous offre un traité commercial pour compencer la perte du marché Danois.

Monseigneur,

J'accepte votre traité avec joie.

Mais qu'avez vous à proposer pour le commerce à la place du danois ?

Nous sommes trés heureux que vous ayez accepter la levée de cette taxe. Elle prendra effet dés le mois prochain.

Pour ce qu'il s'agit du commerce, le saint siège est pret à échanger son sel contre votre tissu. Et cela scellera ainsi l'entente entre nos deux états à tout jamais. Mais par Dieu, ne signez pas avec l'hérétique.

Pour protester contre la fermeture de l'ambassade de Venise à Rome je ferme l'ambassade Pontificale.

Ambassade fermée

Votre Majesté Polonaise,

Nous avons ouie, avec grande tristesse, les récents événements en Pologne. Nous n'apprécions guère voir des catholiques se tuer entre eux.
Nous vous supplions de bien vouloir ramener votre peuple à l'ordre, vous qui êtes son souverain légitime et choisi par les Polonais. Vous êtes le seul à pouvoir empêcher une guerre civile.

Amicalement,
Sa Sainteté Pie VII

Salutations,

Je vais obtenir un entretien avec le chef de la rebellion, si il ne cède pas à mes conditions je serais obligé malheureusement, d'ouvrir le feu.

Cordialement,


Le roi de Pologne