Ministere des Affaires Etrangeres

Majesté,

Nous souhaitions vous renouveller tout nos voeux de reussites dans vos operations contre les bandits musulmans.
Nous desirerions vous aporter un soutient plus materiel ,mais nous ne disposons pas encore de navires de guerre aptes a prendre la haute mer.
Nos fregates ne prendrons la mer que le 1er decembre prochain,date a laquelle nous esperons que cette crise aura pris fin.Ci ce n'est le cas nous luterons egalement contre les hordes barbares qui sillonent la Mediteranée.

avec respects,


Votre frere, Ferdinand.

Nous vous remercions pour vos voeux de reussite, nous sommes bien la en presence d'un veritable amis en votre personne.
Pourriez vous ouvrir une ambassade Espagnole sur votre sol pour que nous puissions faire un rapprochement diplomatique.

Avec mes Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

Majesté,


Nous souhaiterions fortement ouvrir une representation diplomatique de la Couronne Espagnole sur notre terre de Sicile.
Malheureusement une telle entreprise est fort couteuse pour notre modeste budget et nous ne pouvons donc pour l'instant acceder a votre legitime demande.

J'espere qu'il en sera tres vite autrement, je puis vous assurer que nous serons tres heureux de vous construire une ambassade a Madrid, mais cela devra attendre la fin des hostilités avec le Maroc.

Avec mes Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

Je me présente: Général Poniatowski, ministre des affaires étrangère de sa majesté l'Impératrice de Russie.

Par la présente, je suis donc abbilité à gérer toute les relations diplomatiques des autres nations envers notre mère patrie la Russie.

Ainsi donc, vos ambassadeurs devront passer par moi, pour s'entretenir avec sa Grande Majesté.

Avec tout mon respect

Général Poniatowski

Soit General Poniatowsky,

Nous vous saluons.

Nous sommes votre homologue espagnole, le Comte de Oporeza, et en tant que collegues nous pouvons que vous souhaiter bonne chance pour les epreuves futures qui vous appelent.

Avec mes Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

Son Excelence l'Ambassadeur de Portugal fait part à Sa Majesté trés Catholique, l'arrivée de Monsieur le Comte da Figuerida, ministre plénipotentiaire, envoyé pour les négociations de paix avec le royaume de France et de Piemont-Sardaigne.

Monsieur le Comte da Figuerida, reste à la disposition de Sa majesté trés catholique pour lui présenter ses lettres de créances et pour commencer les-dites négociations.

Dom Alvaro, Ambasseur de Portugal

A Pedro IV Roi du Portugal,

Nous sommes particulierement atristé de la mort de votre prédécesseur, notre Roi est au courant, mais il ne peut malheureusement se deplacer pour rendre hommage a son voisin et amis.
Nous esperons que vous, Pedro IV, serez un bon roi pour votre peuple qui le merite alors qu'il reste la tete haute malgré les malheurs dont il est victime.

Concernant la reunion, nous attendons dans un premier temps l'arrivée du représentant francais, puis l'arrivée du Roi de France qui espere par sa présence montrer un signe de bonne fois.
Le Ministre des Affaires Etrangeres, le Comte de Oporeza, sera le représentant du Roi et donc, le garrant de l'equité durant cette reunion. Puisse-t-elle etre productive et efficasse.

Avec mes Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

majesté,

Nous vous avions fait part il y plusieurs mois de la volonté que nous avions a vous soutenir contre les barbares musulmans qui sillonaient la Mediterannée.
Cette crise semble etre en voie d'etre reglé et nous en sommes fort aise.
Nenmoins, si la necissité s'en fait sentir et si votre majesté le demande,nous apporterons notre modeste participation par l'envoie de nos trois fregates et d'un detachement pour soutenir votre cause.


Avec respect,

Votre frere, Ferdinand

Votre Magestée,

C'est une immense joie pour moi qu'est celle de transmettre votre lettre a notre Roi.
Il sera j'en suis sur ravi de votre soutient incontestable, et il sais que malgré vos renforts qui peuvent parraitres quelques peu modestes face aux 200 000 Marocains que nous combattons, mais ses Renforts nous sont donnés avec votre coeur, et meme le surnombre ny ferra rien. Merci.

Avec mes Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

le Comte da Figuerida, ministre plénipotentiaire et ambassadeur du Royaume de portugal fait part à sa Majesté Trés Catholique se ses remerciement pour son accueil à Madrid.

Contenu de la mauvaise volonté du gouvernement Français qui préfère parader plutôt que de négocier la fin d'une guerre, nous sommes dans l'obligation de quitter votre belle capitale.

Je prie Dieu de garder votre Majesté trés Catholique dans sa sainte garde.

Une lettre venue de Milan, marquée du sceau du Doge Paolo Renier :

"Très Haut et Très Bon Charles IV,

Je prend la plume personnellement pour vous demander de me suivre dans mon idée; cette idée, c'est celle d'un traité unique entre tous les belligérants de cette guerre d'Italie, si douloureuse pour Venise et les autres Italiens.

Je vous demande donc de me répondre afin que je sache si une telle entreprise est envisageable. Je pense que cela permettra de garantir une légitimité aux distributions de territoires et réparations de guerre. Ce traité commun nous éviterait des contestations de quiconque par la suite.

Bien à vous et respectueusement."

Cher Doge de Venise,

Nous avons appris recemment votre rencontre avec les emissaires francais et autrichiens a Milan, nous avons été surpris d'en etre exclus car faisant nous aussi parti des nations insultés par le comportement des delegations mises en causes, nous nous demandons bien pourquoi cette mise au ban diplomatique.

Concernant votre Traité commun, nous ne sommes pas contre dans l'idée, reste a savoir les termes de sa redaction.

Cordialement,

Charles IV, Roi d'Espagne, du Maroc et des Deux Siciles, par la Volonté Divine,
Amen

A SA le roi Charles IV,

Nous sommes bien inquiet de votre avancée en direction du Hesse. De cette façon, vous agressez l'Empire Germanique et donc votre allié l'Autriche. De ce fait, le corps de Dijon pourrait bien par la suite envahir secrètement la Confédération Helvétique par le Nord.

En outre, vous avez profité odieusement d'un avantage numérique et de l'impossibilité d'une armée infirme, comme celle du Hesse, de répliquer. Nous vous sommons d'entamer des négociations de paix entre l'Espagne, la France et le Hesse-Darmstadt.

Bien à vous,

Nous n'avons aucun ordre a recevoir d'une Nation avec laquelle nous n'avons aucun lien qu'ils soient diplomatiques, economiques, religieux, ou meme geographique.

Si nous devons faire quelque chose, ce sera en notre ame et conscience, personnellement, nous n'avons rien contre le Hesse Darmstadt et aux dernieres nouvelles, nos troupes n'ont pas passées le Rhin, nous sommes donc encore sur notre territoire. J'espere que vous nous laisserez la jouissance d'en faire ce qu'il nous plait, nous vous en serons gré.

Et je vous signale, Mossieurs, que notre Corp basé a Dijon a stoppé sa progression vers Geneve, ce qui est un signe de détente. Neanmoins, l'Armée de Catalogne est toujours en progression vers Zurich et ce pour votre plus grand bien. Aucun mal ne sera fait a la population, et nous pourrons subvenir a notre ravitaillement grace a nos chariots. Nous garderons cette force présente a coté de votre Capitale tant que cette guerre ne sera pas terminée afin que vous nayiez pas de veleité a nous poignarder dans le dos.

Avec mes respects,

Marquis de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

A S.A. le roi d'Espagne, régent du royaume de France,

Nous acceptons d'entamer des négociations entre le Royaume d'Espagne, le Royaume de France et la Confédération Helvétique.

Nous vous informons d'ores et déjà de nos désirs. Nous souhaiterions payer une compensation sous forme commerciale, c'est à dire que nous serions prêt à vous acheter de l'or à un prix légèrement supérieur au cours (dans l'espoir que vous puissiez encore en exporter) pendant une période à définir ultérieurement. Nous souhaiterions donc aussi créer des ambassades réciproques (à notre charge). Nous souhaitons enfin sceller un traité de paix entre nos trois nations. Nous vous invitons à négocier à Zurich dès que possible.

Dans l'espoir de trouver une solution rapide,

Notre Roi a été tres chaleureusement surpris de votre desir de negociation avec notre Nation. Nous acceptons avec joie de negocier une paix qui pourra etre profitable a chacun d'entre nous.

Le general commandant l'Armée de Catalogne qui est actuellement aux portes de Zurich sera votre interlocuteur privilégié durant ses negociations en ce qui concerne la France et l'Espagne, il a recu des instructions.

Avec mes amitiés,

Marquis de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté


(on va faire ca par MP)