Ministère des Affaires Etrangères

10 décembre 1781
Palais Royale de Warsovie


Mon cher amis, nous sommes ravie de cette proposition, en effet un rapprochement entre nos deux grandes nations me semble des plus propices, pourquoi ne pas commencer par un rapprochement commercial.
Nous serions ravie d'être ravitaillé en denrées par l'empire de SAI et encore plus de fournir de notre si bon tissu à notre voisin.
Quels seraits vos propositions?
Nous les attendons avec joie et je puis vous assurez de mon soutient le plus total lors de leurs présentation à la Diète.

Avec toutes mes amitiés,

A SM Stanislas II

Votre provocation envers mon nouvel allié ottoman a fait rire beaucoup de monde a Stockholm, Copenhague et Istanbul ainsi que dans beaucoup d'autres cours d'Europe.

Menacer un Empire dont la puissance vous dépasse de façon écrasante n'est pas des mieux placés, surtout lorsqu'on le menace pour des affaires qui ne le concernent en aucun point. N'osez point me dire que vous n'avez fait que soumettre un avis à moins que lors de la rédaction de la lettre vous n'auriez abusé de cette fameuse vodka qui rend votre pays célèbre.

J'ose espérer que de telles facéties ne seront pas recommencées à l'avenir.

Au Sieur Fersen,

Monssieur, aprennez malgrer vos victoires militaires qui ne vous ont visiblement que trop monté à la tête, que la Pologne n'est pas votre chien.
Aussi surveillez vos paroles:

Citation :

J'ose espérer que de telles facéties ne seront pas recommencées à l'avenir.

Citation :

N'osez point me dire que vous n'avez fait que soumettre un avis à moins que lors de la rédaction de la lettre vous n'auriez abusé de cette fameuse vodka qui rend votre pays célèbre.

Si c'est notre boisson qui nous rend célèbre, nous pouvons au moins nous félicité avec fierté que se ne soit pas contrairement à d'autres, notre bélliquosité et notre manque d'honneur...

Puis je vous demander par où comptez-vous passer pour combattre les armées Autrichiennes?

bien à vous,

Définitivement vous avez le don de vous mêler des affaires d'autrui sans justification. Dans ce cas la j'honore tout aussi médiocre que vous êtes en vous annoncant que nos troupes passeront par la Saxe et qu'elle ne s'y opposera en aucun cas puisqu'elle a décidé de jouer la neutralité et la prudence dans cette guerre, de celà vous devriez apprendre un peit peu.

Vous osez me traiter d'arrogant? et pourquoi donc, parce que je me permets de vous dire de ne point offenser mon allié? Vous apprendrez que ceci n'est point de l'arrogance mais de la logique.

Ce n'est effectivement pas sur l'alcool que nous fondons notre célébrité mais sur nos qualités martiales effectivement, surement pas sur notre déshonneur, comme vous osez me laisser l'entendre.

Vos remarques soi disantes cinglantes ne m'impressionent guère et ne me feront pas entrer dans votre jeu de petit teigneux. La Pologne doit être bien triste d'avoir un roi tel que vous, d'autant plus que son intégrité est désormais détruite par votre unification pitoyable et inutile a l'Empire de Rusie

Lettre à l'attention de S.M Stanislas II de Pologne


Sa Majesté Louis XVIII de Bourbon, Roy de France et de Navarre, Vous prie de venir l'honorer de Votre présence en assistant en la Cathédrale de Reims le 20 Février de l'An de Grâce 1782 au Sacre et à la Messe qui sera donnée à l'occasion de son accession au Trône de France.

La suite des festivités se tiendra à Versailles.

Bien Vôtre,

Louis

Moscou,

SM Stanislas II Tzar de Russie et de Pologne, est au regret de vous informer qu'elle ne pourra venir en personne étant donné les négociations en cours avec la ligue de Vasa suite a la fin de la guerre contre la suède et le Danemark, et dont l'importance éxige la présence de la personne de SM même.
SM m'a toutefois assuré qu'elle ferait son possible afin de dépécher un ambassadeur de l'empire Slave auprès de votre grâce pour un tel evênement et vous assure de sa plus grande amitié ainsi que de ces meilleurs voeux pour votre règne.
Puisse la France sous votre grandeur retrouver son éclat et sa puissance!
Longue vie au Roy!

Respectueusement,
Sergueï Tomorrov,
dîplomate à la coure impériale de leurs Majestées.

Un message arrive sous la houlette de l’ambassadeur britannique

« Message de Sa Majesté Georges III aux belligérants du conflit dit de « Seconde guerre du Nord » à savoir Ses Altesses royales, impériales, ducale, hautesse, électeur et Président :
- Paul Ier, Tsar de toutes les Russie
- Joseph II, Empereur d’Autriche
- Gustave IV Adolphe, Empereur de Suède
- Stanislas II, Roi de Pologne
- Christian VII, Roi du Danemark
- Frédéric-Guillaume II, Roi de Prusse
- Charles II, duc du Wurtemberg
- Abul Hamid 1, Sultan de l’empire Ottoman
- Frédéric-Auguste III Electeur de saxe
- Charles IV de Bade, Electeur du Margraviat de Bade
- Johann Lukas Legrand, Président de la Confédération Helvétique

Messieurs,
Depuis le 20 décembre 1781, des hommes tombent, des femmes sont veuves et des enfants orphelins. L’Europe est à feu et à sang, les sujets de 11 nations subissent la peur, la faim et la haine de leurs voisins.
Et Vous ?
Ne pensez-Vous pas que tout ceci n’est que folie qui naît dans l’esprit des hommes et le cœur d’ambitieux égoistes, car, oh non Messieurs, ceux qui font la guerre avec autant de mépris pour le sort de leur propre peuple n’ont pas de cœur !
Le sang ne nourrit pas la terre, ne cultive pas les champs, ne travaille pas dans les manufactures ou les mines. Que vont devenir Vos Sujets lorsqu’il ne restera que des ruines ?
Cessez Messieurs, cessez et raisonnez, Messieurs en Hommes et non en bêtes !
C’est pourquoi, en père éprouvé par la perte de sa fille, en souverain épris de justice et d’équité, en homme tout simplement, je Vous invite à Vous interroger et réfléchir au sens de ce carnage.
Asseyez-Vous à une table de négociation et en réglez ce conflit en hommes d’honneur, conflit qui n’a que trop duré.
La Couronne Britannique, impartiale, Vous prêtera assistance en tant que de besoin, comme amiable compositeur, si Vous le jugez nécessaire.
Dieu bénisse la paix !

Georges III, Roi de Grande Bretagne, d'Irlande, de France et Electeur d'Hanovre »

A SM Joseph Ier,

Nous vous félicitons pour votre accession au trône et nous éspérons que vous réussirez à mener la Pologne aussi bien que l'a fait votre père Stanislas II. Nous avons entendu des rumeurs comme quoi vous voudriez revendiquer le trône de Prusse. Pouvez-vous nous éclairssire sur cette affaire?

Cordialement,

Jonathan Kerpen, Ministre des Affaires Etrangères de Gênes

A Son Excellence Jonathan Kerpen,
Ministre des Affaires Etrangères de Gênes,

Nous vous remercions de ces bonnes paroles ainsi que de la haute estime dans laquelle vous tenez mon père..
Je vous écris actuellement du village de Falsbrach où j'ai rejoint mes armées.
Je n'ai pour l'instant pas l'intention de revendiquer le trône de prusse, toutefois ma femme la Reine de Pologne et de lithuanie, et avant tout Princesse de Prusse est seule légitime à pouvoir diriger son peuple et m'a fait par de son désir à revendiquer sa place légtime qui est d'être à la tête du royaume de Prusse et de ces sujets.
Je ne laisserais point celui-ci en proie a une puissance oppressive étrangère.
Berlin est assiégé et j'espère pouvoir raisoner SM Danoise afin de signer la paix et laissez ma femme monter sur son trône dans le but de remplir ces obligations à gouverner et protéger son peuple.
Cordialement,

Cordialement,
Roi de Pologne et de Lithuanie,

Votre majeste. Votre paye vient dessuyer une defaite face aux troupes suedoises. Sachez qune armee impresionnante de 150 000 hommes fait route vers votre pays. Vous navez aucunes chances.
Nous exigeons votre redition immediate et sans condition ainsi que lappropriation des provinces de Wielkopolska et de Cracovie. vous navez aucuns allies dans cette guerre. Si vous acceptez la defaite, nous annulerons nos mouvements de troupes, si vous la refusez, attendez vous a une cuisante defaite.

Bien a vous

A sa majesté Josef Ier

Majesté,

Nous pensons que vos soldats se sont perdus dans la mesure ou ils ont passé la frontière et patrouillent sur mes terres.

Nous vous prions de ramener vos soldats au delà de la frontière. Sinon cela serait une déclaration de guerre en bon éduforme. Ce que vous n'avez pu acheter vous venez le prendre de force., cela tient du caprice plus que du chef d'Etat.

Soit mais cela ne sera pas sans faire couler le sang.

Bien à vous