Ministry of Foreign Affairs

To the Consule of the Republic of Genoa,

Your Excellency,

The governement of HM Britannic Majesty acknowledges your message and presents it's compliments to the Consule of Genoa.

If we are to understand your request, it would seem that you would wish a corps of His Majesty's forces to be stationed on your territory as a way of assuring your independance without being directly your protector?

If this is the case, then I believe that it will be possible to have a form of agreement between our two governements.

However, we would stipulate the following conditions:

1) All HM's forces are under the command of their general only;
2) The Genoese governement provides all logistics to make sure that HM's troops are well lodged and provisioned;
3) The lodges occupied by HM's forces are recognised by His Excellency the Consul of Genoa as being British soil. The governement of HM will return the lodges to Genoa once our time of service has completed.

In fact, we would agree to consider this just as a long-term right of passage agreement rather than any form of elaborate treaty.

Would Your Excellency agree to these conditions?

Regards,

Sir Georges Canning
Foreign Minister to His Most Britannic Majesty

To His Most Britannic Majesty,

Sire,

The Consule of the Genoese Republic presents his compliments.

Indeed, you have seized the main thrust of my request. Concerning your list of conditions, we advie Your Majesty that these are acceptable to the Genoese governement and we would ask you to send a force as soon as possible as the King of France is actually threatening our independance.

Regards,

Giacomo Brignole

To the Consule of the Republic of Genoa,

Your Excellency,

The governement of HM Britannic Majesty acknowledges your message and presents it's compliments to the Consule of Genoa.

We are pleased that these conditions are acceptable. We shall organise a force as soon as possible.

Regards,

Sir Georges Canning
Foreign Minister to His Most Britannic Majesty

Nous venons de faire construire une Ambassade pour votre Royaume sur notre territoire, et nous aimerions qu'il en soit fait autand sur votre territoire.
Nous y parlerions d'affaires economiques et militaires, etant voisins via le Territoire de Gibraltar.

Merci.

Avec toutes nos amitiés,
Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volontée

A SM Espagnole,

Le gouvernement de SM Britannique prend note de cette heureuse nouvelle et tiens à rétablir des relations cordiales avec SM Catholique, le roi d'Espagne.

Notre ambassadeur sera bientôt arrivé à Madrid, afin de prendre son nouveau poste. Une ambassade vous serra dédiée dés que possible.

Cordialement,

Sir Georges Canning
Ministre des Affaires Etrangéres de SM Britannique

Nous remercions Sa Magestée le Roi de Grande Bretagne pour sa reponse aussi claire que concise.
Nous attendons votre Ambassadeur avec impatience, et nous esperons comme etant imminente l'ouverture prochaine de notre Ambassade sur votre territoire.

Merci.

Avec toutes nos amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volontée

Votre Majesté,

Nous avons découvert des espions ou enquêteurs anglais sur notre sol et nous n'avons pas été prévenu de la venue de ces enquêteurs par votre Gouvernement. Nous attendons donc des explications clair. Pour l'instant, vos enquêteurs ont la vie sauve mais cela ne saurai pas durer si nous ne recevons pas de bonnes explications.

A Sa Majesté, la Reine de France,

Votre Majesté,

Le gouvernement de SM Britannique vous présent ses compliments.

En effet, nous avons envoyés des enquêteurs en France. Mais ceci était d'une importance capitale. Voyez-vous, il-y-a quelques semaines, la princesse Charlotte à était enlevée par des brigands irlandais.

Ces brigands se sont montrés particuliérement dangeureux pour la sécurité du royaume ainsi que la sécurité immédiate de la princesse Charlotte. La dernière fois qu'ils ont était repérés, c'était lorsqu'ils ont pris un bateau qui partait en diréction de la France.

Naturellement, le gouvernement de SM Britannique désirez garder cette affaire discréte, vu le danger que la princesse se trouve. Ainsi, nous avons décidés en effet d'envoyer quelques enquêteurs sur les traces de ces bandits. Aussi, en voyant la situation politique de votre pays, nous n'avons pas décidé de vous informez diréctement de cette décision car Votre Majesté avait certainnement d'autres occupations beaucoup plus importantes à régler.

Nous vous demandons humblement de bien vouloir nous rendre ces enquêteurs. Ils détiennent peut-être des informations importantes à l'égard de la princesse Charlotte.

Cordialement,

Sir Georges Canning
Ministre des Affaires Etrangères de SM Britannique

A partir de maintenand, nous vous prions de nous avertir quand vous enverrez des enquêteurs sur notre sol. Nous nous occuperons nous même de l'affaire de la Princesse Charlotte et vous pouvez nous faire confiance quand à l'efficacité de nos services. Vos enquêteurs vous seront rendus très bientôt.

Cordialement,

Nous saluons SM Georges III,

Nous vous annoncons notre désir de commercer avec vous. Nous pouvons vous vendre les dernées suivantes:

Vin+ : 900T/mois
Cuivre: 75T/mois
Bois: 100T/mois
Cuivre: 75T/mois

Nous vous proposons donc de vous vendre du Vin et de la Porcelaine, donc vous avez rudement besoin, et facultativement, du Cuivre.

Nous éspérons avec plaisir que vous trouverez votre bonheur dans nos propositions. Si cela est le cas, nous pourrions ovrir chacun une ambassade à l'effigie de l'autre une fois que les ports commerciales nécesaires à notre commerce soit ouverts.

Cordialement,

Comte Turgot, Ministre du Commerce du Royaume de France

Majesté, sachez qu'en ce moment, 10 navires de guerre russes nt appareillé et font route vers Lancaster afin de rejoindre une de vos flottes pour briser le blocus imposé par l'Empire de Suède.

A son arrivée, mon amiral, s'entretiendra avec le capitaine de votre flotte afin de coordonner nos actions.

Bien à vous.

Paul Ier

Votre Altesse,

Sa Majesté a bien pris connaissance de Vos intentions et ne saurait laisser des navires en perdition.
Ses ports Vous sont ouverts et un accueil chaleureux sera réservé à Vos fiers marins.

Son capitaine recevra son homologue dès son arrivée et menera les entretiens nécessaires.

Avec les Salutations de Son Altesse Georges III et tout mon respect

Sir Georges Canning
Foreign Minister to His Most Britannic Majesty

"Je vous remercie. Mes respects à sa majesté Georges III"

Paul Ier

Un courrier apporte une réponse courtoise en provenance du 10 Downing Street écrite par Lord Frederick North lui-même

sur le parchemin il y a écrit:

A l'attention de son excellence le Doge de Gênes.
J'ai l'honneur de vous informer que les navires de la Couronne Britannique ont quitté votre sol si hospitalier et ce dès que le trésor a été abondé par votre compensation généreuse.
Respectueusement

Lord Frederick North

(H.J. mouvement d'humeur de Galatée : au lieu de couiner, tu n'avais qu'à délocker ton sujet nan mais !)

Suite à la réception de la missive de sa majestée royale George III, le roi de Prusse, Friedrich-Wilhelm III, luii répond en ces termes :


A SM George III,


Je suis tout à fait ravi de la proposition d'union entre nos deux chers enfants, il faudrait organiser une rencontre afin qu'ils puissent faire un tant soit peu connaissance meme si, j'en suis sure, ils ne devraient pas se déplaire. Leur union serait un symbole des relations que nos deux nations veulent entretenir et le signe que nos deux maisons tiennent profondément l'une à l'autre.

Vous m'avez également questionné sur mes positions concernant l'avenir de l'Europe , sujet hautement prennant et épineux, s'il en est, qui requiert en effet une reflexion approffondie.

L'Europe, à l'heure actuelle, est aux mains de grandes puissances qui regnent avec férocité sur de vastes étendues et qui se maintiennent par l'art de la guerre qu'elles maitrisent avec brio. Vous pensez d'emblée à l'Empire de Suède, et cela est bien naturel, mais il ne faut pas oublier le royaume de Danemark qui à eux seuls possedent la majeure partie des terres nordiques et la totalité du pourtours baltique.
Ce constat est le début d'une reflexion sur l'équilibre des forces dans la région que la Prusse occupe et le témoin de ses préoccupations concernant son avenir.

La Suède a ainsi acquis un territoire, par la grandeur de son armée, qui a lésé une bonne partie des nations de la baltique et crée une nuée de mécontent en particulier au sein des peuples germaniques.
Le royaume du Danemark, bien au courant de notre faiblesse, s'est également taillé une part dans ce qui restait.
Ainsi mon royaume y a perdu toutes ses provinces de valeur et, fait encore plus grave, le peuple prussien s'en trouve diviser.
Nombre de mes sujets m'exhortent à monter une armée pour marcher vers la reconquete de notre espace naturel, mais ils n'ont pas les chiffres devant les yeux, la Prusse n'est plus que l'ombre d'elle-meme.
Les provinces allemandes, deja morcelées et vulnérables, sont harcelées par ces puissances nordiques qui nous dictent une politique de réserve au vu de leurs grandeurs.

Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve, puisse Dieu nous préserver du pire, mais notre honneur a été baffouer et notre peuple en a souffert.

Ce simple fait est deja alarmant et je souhaite qu'à l'avenir l'équilibre des forces en présence se fasse plus harmonieux car je sens poindre une haine sans réserve au sein de mes sujets, outrés par la situation de ce jour.

Il me faut donc etre le catalyseur de cette force destructrice qui gagne du terrain parmi les seigneurs meme de mon entourage et savoir ménager la chevre et le chou alors que les deux me prennent à parti.

Ceci est donc l'état de mes pensées en ce jour, beaucoup d'analyses et peu de critiques car nous ne pouvons pas nous le permettre.

Cordialement, Friedrich-Wilhelm III

Je vous envoie, votre majestée, un portrait exquis de Wilhelmina que j'ai commandé auprès d'un peintre de ma court. J'espère qu'il vous plaira et que cette image, bien qu'étant une pale copie de la beauté de ma chere enfant, saura trouver une place dans le coeur du prince Frederick.











Bien à vous, Friedrich-Wilhelm III

Je vous invite par ailleurs à Prague ainsi que le Prince Frederick afin que nos deux jeunes enfants puissent faire un peu mieux connaissance et que nous puissions parler de cette union prometteuse.
Ainsi vous serez logés dans un de mes chateau de Prague, le chateau Troja, qui saura je l'espere vous ravir.




En attendant votre réponse, je vous fait parvenir mes salutations cordiales


(H.J. Galatée : l'est mimi cette jeune fille... Sire on prend ! ^^ pour une fois que la raison d'Etat rejoint celle du coeur ^^)

A Sa Majesté le Roi de Prusse,

Nous accusons reception de votre missive ainsi que du tableau de Son Altesse la princesse Wilhelmina.

Nous prenons également connaissance de votre position concernant la santé de l'Europe. Le gouvernement de SM Britannique est incroyablement inquiét sur l'avenir de celle-ci suite aux politiques d'expansion de l'Empire Suèdois et de son partenaire danois, conquêtes qui ont déstabilisées l'équilibre des puissances europénnées et qui représent un vrai danger pour une paix durable.

La Prusse, bien qu'affaibli par ces politiques d'expansion, reste néantmoins une puissance allemande importante. Le gouvernement de SM Britannique est favorable à ce que vos anciennes térritoires soient réstaurés. D'ailleurs, vous remarquerez que le gouverneur du Hanovre avait acceuilli plusieurs notables Berlinois à son banquet ainsi que des patriots néerlandais.

La Grande-Bretagne reconnait et soutient l'indépendance des duchés allemand.

Concernant votre invitation pour rejoindre à Prague, Sa Majesté est hélas indispossé pour faire un si long voyage mais la chargera Lord Humphrey d'accompagner le Prince Frederick.

Cordialement,

Sir George Canning
Ministre des Affaires Étrangéres de SM Britannique

A sa Majestée George III ,

J'ai bien pris note de vos considérations géopolitiques et de la venue du prince accompagné d'un de vos diplomate dans lequel vous avez certainement placé votre confiance. Ils seront donc recu avec toute la pompe que vous auriez mériter en tant que souverain d'une aussi grande nation que la votre.

J'aimerai que nos liens s'affermissent par l'ouverture d'une ambassade dans chacun de nos deux pays et pour vous assurer de mon sérieux concernant cette volonté j'ouvre dès à présent un lieu qui sera désormais terre anglaise dans ma bien belle capitale de Prague.

Cordialement , Friedrich-Wilhelm III


(Edit Galatée : c'est George III qui ouvre les ambassades, un tout petit peu de patience mon ami, votre ambassade n'en sera que plus jolie ^^)