Convention de Rome

8 Octobre 1782

Les délégations piémontaises et maltaises sont arrivées à leurs hôtels au centre de la ville de Rome.
Bien que battus lors de la guerre d’Italie, les représentants du Saint-Siège ont pris tous les soins nécessaires à ce que ces représentants soient dignement accueillis, charité chrétienne oblige.



Au petit matin du 10 Octobre, les piémontais et les maltais se dirigés à l’hôtel du Pantheon sur la Place Via Pastini. C’est ici que les délégations du Pape, de Gênes, d’Autriche, de la France, et de Venise ainsi que ces premiers doivent négocier la nouvelle paix sur la péninsule italienne.



Le chef de la délégation piémontaise est le Prince de Turin, tant que Antoine de Beaufin représentera l’Ordre de Malte.

20 Octobre 1782

Après plusieurs jours d'attente, les délégés piémontais et maltais commencent à perdre patience.

Ensemble, ils redigent une lettre pour l'attention du Pape:

Citation :

Mon Très Saint Pére,

Cela fait plusieurs jours que nous attendons que les délégés des divers nations se présent à cette conférence, y inclus la vôtre.

Bien que nous sommes plus que satisfait de l'acceuil que vous nous avez donner au sein de votre capitale, nous vous prions de bien vouloir commencer la conférence dés que possible.

Voyez-vous, mon très Saint Pére, les armées de votre alliance occupent nos terres et térroristent nos gens. Nos pays sommes sous votre occupation alors que nous sommes ici pour entâmer des négociations pour finir avec cette guerre, regagner nos terres et nos familles.

Nous vous supplions, une fois de plus, de bien vouloir commencer la conférence dés que possible.

Cordialement,

SA le Prince de Turin
Antoine de Beaufin, chevalier de l'Ordre de Malte

La délégation vénitienne, présidée par Frédérico Lorédan, arrive à Rome

"Messieurs,
bonjour à tous; nous sommes heureux de voir la finde la guerre s'approcher. La République de Venise souhaiterai que cette guerre fratricide finisse au plus vite, et que le traité soit unique et signé de tous les belligérants.

C'est pour l'instant ce que nous voulons quant au traité.

Nous nous proposons également pour rédiger un exemple de ce traité que nous vous soumetterions."




en rp comme en hrp je voudrais bien que ça finisse vite, lundi commence mon bac blanc donc svp que ça traine pas, si çapouvais etre fini cette fin de semaine.....

Nous Aimerions nous aussi que ce traité soit vite rédigé.
Toutefois, nous ne le signerons pas si il ne nous convient pas, et jusqu'a présent, nous n'avons eu aucune discutions avec les autres partis pour se mettre d'accord sur les clauses de ce traité.
Nous aimerions donc que les demandes de chacuns soient formulées et vite mais en privé afin que l'on puisse tous parler d'une seule et meme voix.

Le Roi ma chargé de représenter les interets de notre Royaume dans cette affaire, je suis le Fils du Comte de Oporeza, le Marquis Fernando de Oporeza, nouveau Ministre des Affaires Etrangeres du Royaume d'Espagne.

(HRP:dsl de ma non orignialité, mais ca fait continuacion comme ca ^^/HRP)

Les plénipotentiaires français après plusieurs jours de voyage, arrivèrent dans la ville éternelle pour officialiser par écrit le rattachement de la Savoie, du Piémont et de la Sardaigne à la Couronne de France.

Faisant partie de la délégation, 1 représentant de chacune des 3 nouvelles provinces du Royaume, présents pour témoigner du désir profond de leurs frères de sang de vivre désormais en paix dans la France du Roi Louis.

Le nouveau Ministre de la Guerre, le Marquis de Castries, venu à Turin l'espace d'une journée pour féliciter les troupes au nom du Roi de la brillante campagne effectuée, a profité de l'opportunité pour se joindre à la délégation et participer à Rome à l'élaboration du Traité.

Le Pape lui-même se rendit à la convention afin de discuter d'un traité entre les différents partis.

La délégation vénitienne propose un traité :

Citation :

De la Paix :

ART 1 : Le présent traité est destiné à être signé par les nations belligérantes de la guerre d'Italie de l'an 1782 afin de mettre un terme à ladite guerre; les vainqueurs, par ordre alphabétique, sont l'Autriche, l'Espagne, la France, le Saint-Siège et Venise. Les vaincus sont, par ordre alphabétique, Gênes, Malte et le Piémont-Sardaigne.

ART 2 : Le présent traité est le seul traité de cette guerre, et aura ainsi pour but d'éviter toute contestation dans l'avenir quant aux conditions du traité.

Des territoires et compensations :

ART 3 : Par la signature du présent traité, les Etats de Gênes, du Piémont-Sardaigne et de Malte sont dissous.

ART 4 : Par la signature du présent traité, les provinces de Sardaigne, du Piémont et de la Savoie passe sous contrôle total de la France.

ART 5 : Par la signature du présent traité, les provinces de Malte et de Gênes passe sous contrôle total de Venise.

ART 6 :DISTRIBUTION DES TRESORS, A DETERMINER

ART 7 : discussion entre l'Espagne et Venise pour Malte

Ceci est une base de discussion que nous proposons; à vous d'y ajouter des propositions d'articles...

Nous sommes d'accord concernant ce traité, mais nous ne voyons pas les avantages fiscaux que l'Autriche pourra posseder dans cette affaire, alors meme que sa délégation a subie la meme douleur que les notres et alors qu'elle a participée a la guerre.
De plus, il reste la question de la possession de l'Ile de Malte. Nous attendons les propositions Venitiennes quant aux compensations que celles-ci accorderaient si, dans notre immense et infinie bontée, nous accordions la jouissance de cette ile qui autrefois fu notre.

Les délégués Piémontais et Maltais, en écoutant les négociations des autres parties et après avoir lu la proposition du traité, se lévent pour prendre parole.

SA Le Prince de Turin lança le traité aux pieds des représentants alliés.

- "Ceci est inaccéptable. Comment osez-vous parlez d'annexation alors que nos forces se sont rendues afin de préserver la paix et la vie de nos sujets? Comment pouvez-vous osez éteindre une dynastie qui à pérdurer pendant plus de 700 ans?"

Le Chevalier Beaufin intervena à son tour.

- "Mon Ordre à un devoir sacré de protéger l'ile de Malte depuis 1530. Nous pouvons pas signer un tel text."

Le Marechal de Castries visiblement presse d en finir avec la signature de se traité, se leva et d un ton calmes exprima:

"Allons, allons messieurs, calmons nous. Dois je vous rappeler qui sont les grands vainqueurs de cette guerre, et dois je vous rappeler aussi que si vous vouliez vous battre c etait avant qu il fallait le faire, maintenat l heure est aux negociations, et le probleme est que l ensemble de vos terres est occuppé par les forces coalisées. Vous est donc, messieurs je vous le rappel, dans l incapacité d imposer et vos lois, et vos rèsgles, vos requêtes, vos exigences, vos envi. Vous êtes faces au vainqueurs, et vous êtes dans l incapacité de poursuivre la lutte, je vous conseil donc d y reflechir a deux fois aant d oser ouvrir la bouche et de nous faire perdre notre temps qui nous est plus que precieux!

Mon Prince, votre dynastie qui a plus de 700 ans, et bien desormais n est plus, c est la loi de la guerre, la loi du plus fort et du plus agil, qui en a decidé ainsi. Nous controlons, vos provinces, vos routes, vos villes, villages, et votre captal, l ansemble de votre pays est sous controle. Je ne suis pas la pour vous menacer, car mon but n et pas de massacrer ou d enfermer je ne sais combien de Piemontais, mais d obtenir la signature de la paix!

Estimmez vous heureux de la clemence du Roy de France depuis le debut. N oubliez pas que l ensemble d ela cour Piemontaise fera parti de la si distinguée cours de Versailles, alors ne chipotez point sur des details administratif et ouvrez les yeux, rendez vous compte un peu de votre situation. Vous êtes ne disposez plus de moyen d actions, et si vous osez menacer SM, son armée, et son royaume, je vous assure monsieur, que je ne ferai de vous qu une bouché.

Messieurs, n oubliez pas quue vos peuples veulent voir un drapeau flotté au dessus de leur capital, et il est clair net et precis que plus vous mettrez de temps, plus il y aua un sentiment de lassitude parmi ses peuples italiens O combien respectable. Ils n hesiteront pas a inbandnner leur identité itelienne pour celle de la France, une fois qu ils auront pu observer l ingerance de leurs dirigeants face a de tels negociations que vous avez deja perud d avance!

Pour l amour de Dieu signé ces papiers et qu on en parle plus, il n y a pas encore eu de mort, faites qu il n y en est point!"


Après cette longue allocution qui s adressait visiblement plus a la delagation Piemontaise, et aux delegatiosn espagnol et Venitienne pour que le partage de Malte soit fait au plus visible. Le marechal s assit et attendit les reponses qu il esperait positive.

Frédérico Lorédan prend la parole :

"Monsieur le Marquis de Oporeza, les délégations française et autrichienne ne se sont engagées dans la guerre que par obligation diplomatique, leurs délégations ayant quitté subitement le Congrès peu avant l'attentat. Leurs délégués n'ont pas eu à craindre pour leur vie; les notre, si ! Et certains ne sont même plus de ce monde !

Quant aux dires de Monsieur le Maréchal de Castries, nous les trouvons suffisamment clairs et justes et n'avons rien à y ajouter; je crois que si Monsieur le Prince de Turin est assez éclairé, il saura comprendre qu'il n'a rien à imposer et que l'odieuse machination à laquelle s'est joint l'ancien Roi du Piémont est une raison suffisante pour marquer la fin de la dinastie et de cet Etat.

Pour ce qui est de Malte, je crois simplement que l'indépendance de l'ile n'a plus lieu d'être ! Le manque d'ouverture sur le monde et la perte d'activité des chevaliers est le signe que l'île a à nouveau besoin d'un tuteur. Nous nous proposons pour cela. Biensûr, l'Espagne aussi serait intéressée par ce rôle; et je tiens à faire noter que les discussions entre Venise et Madrid se feront en privée.

Enfin, en ce qui concerne Gênes, C'est une double victoire pour nous : d'abord, une victoire de l'immédiat du fait que cette fausse République fut la génératrice de ce complot infâme. Ensuite, une victoire à long terme et Historique; Gênes s'est toujours opposée à Venise et à toujours cherchée à nuire au commerce en Italie et dans le monde si cela ne lui était pas profitable directement et si elle ne pouvait y prendre part. Et ce souvent, bien trop souvent, de façon belliqueuse; son complot récent en est la dernière preuve, alors qu'elle se savait inutile au sein du Congrès. C'est une bonne chose que cet Etat soit anéanti et nous désirons, à la fois pour marquer la fin d'une lutte millénaire et pour nous dédommager des torts subis au fil des siècles, mais aussi car nous pensons pouvoir comprendre ce peuple, acquérir la province de Gênes."

Le Pape prit alors la parole :

Je m'oppose a toute annexion de Malte et je vous préviens : toute personne essayent d'annexer l'île risque d'être excommunié.

Cher Compte,

Je ne suis pas convaincu de la culpabilité des chevaliers de l'Ordre. En effet, Gêne pouvait bien déclarer n'importe quoi, qui vous prouve que c'est vrai ? Malte est devenu le symbole de la résistance chrétienne face à l'Islam et vous voudriez que je laisse des catholiques attaquer un des symboles du catholicisme ? Reconnaisez la le paradoxe ! Malte, par ailleurs, s'est toujours posée en défenseur du Saint-Siège. Je ne peux vous laisser faire cela.

Tant qu'il n'y a pas de preuve formelle, je me refuse a toute annexion. J'aimerais d'ailleurs savoir l'opinion du représentant Maltais ici présent.

Le Prince de Turin, après avoir murement écouté le discours du représentant français, pris la parole:

- "Monsieur le Marquis. Les armées piémontaises ainsi que son peuple n'a pas était battu par vos soldats. Nous nous sommes rendus avec les honneurs de la guerre afin d'épargner une guerre inutile et qui n'était pas la notre diréctement. Nous avions quand même espéré un peu de clémence de la part de Sa Majesté Très Catholique."

Il présenta une lettre au représentant français.

- "Sa Majesté le Roi du Piémont à écrit cette lettre, proposant qu'il céde la province de Savoie à SM Très Catholique ainsi qu'une indéminisation qu'il voudrait éventuellement souhaiter."

Antoine de Beaufin, après avoir rendu respect au Saint-Père, pris la parole:

- "Le Saint Père est sage. Notre délégation au Congrès de Venise à également était attaqué par les assassins Gênois. Nous déplorons ce qu'il s'est passé et c'est pour prouver notre innocence que nous avions offert aucune résistance aux forces venito-espagnoles lors de leur débarquement sur notre île."

Il se retourna vers le Pape.

- "Très Saint Père, je suis le représentant du Grand Maitre à cette assemblée et celui-ci m'a demandé de vous dire que l'Ordre sera toujours un loyal serviteur de notre Mére l'Eglise et de Dieu notre Seigneur."

Le Chevalier lui remetta une lettre: "Ceci est une lettre de notre Grand-Maitre, qui vous prét serment une fois de plus."

Après que le Pape ait pris la lettre, le chevalier se retourna vers l'assemble des représentants:

- "Si l'indépendance de notre Ordre vous déplait. Je suis chargé par le Grand Maitre de demander à ce que l'Ordre soit rattaché au Saint-Siège."

Nous ne comptons en aucun cas démenteler un Ordre tel que le votre qui s'est toujours battu pour le bien de la Chretienté.
Non, nous comptons simplement le mettre sous tutelle pour lui apporter notre aide tant sur les plans economiques que diplomatiques ou militaires. En fait, nous pencherions pour un contrat de vassalité de l'Ile vis a vis de notre Couronne.

De plus si l'on va dans le sens de vos propos, que devrions nous dire aux familles des victimes de vos amis ? Que le Pape aide et protege des etres malfaisants et puni ses ouailles ? Belle mentalité que celle-ci. Si elle est dans vos genes depuis plusieurs siecles, il ne faut pas s'etonner ensuite que la Chretienté ait tant reculé face aux Protestants ou a l'Ennemi Heretique.



HRP: Si vous comptez reellement a ce qu'il y ait un joueur qui veuille de ce bout de terre alors que la Suede est disponible, je vous souhaite bonne chance, mais bon je pensse que l'interet serait plus d'avoir l'ensemble des pays remplis meme en moins grand nombre que beaucoup de pays mais ou il manque des dirrigeants...../HRP)

Fort bien cher Compte, cependant il y a deux points importants à soulever :

Malte est sous tutelle Portugaise. Votre projet risque de créer des conflits avec votre voison qui a déjà beaucoup souffert.

Venise, par ailleurs, semble aussi vouloir conquérir ces territoires.

Trois souverains cherchent le contrôlle du pays, et c'est pour éviter les conflits qui nous nous interposons. Sans doute les habitants de Malte ont droit à l'auto détermination, et il serait sage de les écouter...

Après avoir entendu le discours du représentant espagnol, le chevalier de Beaufin prit la parole:

- "Monseigneur à tort de blâmer notre Ordre pour la mort de vos représentants. Nous le déplorons de tout coeur et nous prions le Seigneur qu'Il reçevoit leurs âmes. Mais nous sommes pas les auteurs de cet meurtre. Notre devoir est de protèger notre Sainte Mère l'Eglise et non assassiner des délégués."

(HRP: Je suis d'accord avec toi...C'est pour cela que je propos que l'Ordre rejoins le Saint-Siège.)

Tres Saint Pere,
Le probleme avec Venise est résolu car apres de tres longues et tres apres (sisisi ce fut dur mais vraiment) discutions, Malte appartiendra a la Couronne Espagnole et Venise recevra l'equivalant du budget de l'Ile en compensation chaque mois.
Concernant le Portugal, nous avons décidés dans notre grande mensuetude, de lui rappeler son Protectorat sur l'Ile plutot que de lui declarer la guerre directement comme nous aurions pu le faire. Le choix appartiendra au Roi du Portugal.

Pour repondre aux propos de la delegation Maltaise, il est présentement facile de se décharger de toutes les fautes, neanmoins nous avons vu que Venise et la France vous ont déclarés la guerre et ce avant nous, donc votre culpabilité ne fait aucun doute pour trois poids lourds du monde Catholique, nous ne sommes pas seul.


(HRP: C'est bien sympa ce que tu dis Marc, mais le Saint Siege n'a pas d'Armée donc ne pourra pas defendre efficasement l'Ile. De plus, je l'ai eue apres de tres longues palabre et ce meme au telephone et dieu sais que ca me casse les b****es ce truc la, donc ca m'ennuirai fortement d'avoir bataillé pour rien. De plus, si j'ai pas Malte, je me retrouve avec quoi moi apres ?? Mes mecs sont morts pour quedal, chui sencé faire quoi apres moi ?? /HRP)

Devant la déclaration du représentant espagnol, le chevalier de Beaufin se tourna vers le délégué vénitien:

- "Est-ce vrai?"

Et puis, vers le Saint-Père:

- "Trés Saint Père, vous allez permettre que vos chevaliers deviennent espagnol?"

Nous vous repetons que vous ne serez pas Espagnols, vous serez Maltais mais sous notre protection rapprochée voila tout.
La seule chose qui changera dans vos vies c'est que le Grand Maitre de l'Ordre ne devra pas faire n'importe quoi car il devra rendre des comptes a la Couronne Espagnole.
Les impots iront a la Couronne d'Espagne, non plus a l'Ordre lui-meme, et seront ensuite reinvestis dans les Amenagements Publiques, l'Achat d'Infrastructures, l'entretien des Armées, ce qui au vu de nos capacités financieres, est un plus pour l'Ile qui béneficiera de notre aide.
Les décisions concernant la politique Exterieure de Malte seront prisent a Madrid et seront les meme que les décisions Espagnoles.
Enfin les Armées et les Escadres Espagnoles pourront sejournées a loisir a Malte.
En ce qui concerne les autres aspects de la vie de vous et de vos Concitoyens, rien ne changera. Bien évidamment, en cas de Guerre, l'Ile de Malte sera considéré comme sol Espagnol et sera défendu de toute notre force au meme titre que les Deux Siciles, le Maroc ou l'Espagne. De plus, nous n'avons pas dans nos habitudes de maltraité les populations, aussi vous pourrez gerer la politique interieure de votre ile tant qu'il vous plairat, tant que ca n'incite pas les habitants a la haine vis a vis des Espagnols.