Ministère des affaires étrangères

Tres Saint Pere,

Notre Roi Charles IV vous remercie instamment de lui avoir preter votre Flotte pour nous aider contre le vil Sultan Hakim II.
Votre Flotte a perdue un Navire de Guerre, et nous vous donnerons donc l'argent necessaire a la construction d'un nouveau navire de meme type. Nous effectuerons ce transfert de fond durant notre budget de ce mois-ci.

Nous vous demandons de construirer une Ambassade pour notre Royaume sur vos terres, notre Peuple aimerait que nous soyons en relation directe avec Sa Sainteté.

En vous remerciant encore,

Avec mon Respect,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volontée

Votre majesté,

Nous sommes heureux de cette nouvelle. Nous ne doutions point un instant de votre réussite.

En ce qui concerne l'ambassade, nous vous ferons remarquer que vous disposez déjà d'une ambassade.

Cordialement,
Cardinal Rossi

Une lettre venue de Milan, marquée du sceau du Doge Paolo Renier :

"Très Haut et Très Sage Saint-Père,

Je prend la plume personnellement pour vous demander de me suivre dans mon idée; cette idée, c'est celle d'un traité unique entre tous les belligérants de cette guerre d'Italie, si douloureuse pour Venise et les autres Italiens.

Je vous demande donc de me répondre afin que je sache si une telle entreprise est envisageable. Je pense que cela permettra de garantir une légitimité aux distributions de territoires et réparations de guerre. Ce traité commun nous éviterait des contestations de quiconque par la suite.

Bien à vous et respectueusement."

Cher Doge de Venise,

Cette idée me parait tout a fait acceptable, et nous évitera des incidents fâcheux je pense. Néanmoins sachez que Sa Sainteté se montrera intraitable quant à l'affaire Maltaise.

Bien cordialement,

Toutes mes respectueuses salutatuions à sa sainteté le pape Pie VII !

Moi, Friedrich-Wilhelm III, me présente à vous pour vous faire part de ma toute récente intronisation au royaume de Prusse.

Je voulais également vous exprimer que la Prusse continuera d'etre tolerante envers les catholiques qui sont présents sur son territoire et qui sont reconnus comme étant des sujets à part entière.

Respectueusement, Friedrich-Wilhelm III