Ministère des Affaires Exterieures

Monssieur mon frère,
Nous sommes nous aussi choqués par cette aussi lâche qu'odieuse trahison francaise.
Nous qui allions combattre le mahométan pour la plus grande gloire de Dieu avions confié notre bon royaume à la protection du Fourbe roi de france, et voici que celui-ci attendant que nos flottes aient mient voiles, nous déclara la guerre.
S'entachant d'une double honte quand à des mensonges éhontés sur ces motifs.

En ce qui concerne le royaume de Piemont Sardaigne, nous acceptons de faire acte de clémence pour sa populace,ces villes et ces soldats si celui-ci et ces troupes, ainsi que sa flotte se retire:
-de la guerre contre notre royaume.
-du royaume de notre bon voisin d'espagne pour ne plus le menacer.
-des territoires de nos fidèles amis britanniques pour ne plus le menacer.
-S'engage à verser les sommes de dédomagements précédement demandé sur la question de la ligue du sud ainsi que qu'un dédomagement pour les coûts de guerre occasioné par ces troupes.

Les 3 premieres conditions étant sans appel et la dernière pouvant être négocié.
Il est possible qu'il aie été manipulé dans cette odieuse agression certes, mais nous pensons que le roi de Piémont-Sardaigne était tout à fait consciens de ces actes.
De par nos services d'espionnage nous sommes en doit de pense qu'il avait l'intention d'attenter aux territoires britannique de Gibraltare et de récupérer certaines de nos provinces.

Nous proposons à VM si tel est son désir, connaissant sa sagesse et sa droiture et vue l'estime que nous avons pour elle, de ramener à l'ordre le Roi de Piémont Sardaigne et ce dans son interrêt.
Toutefois notre flotte sera bientôt en vue des navires ennemies et nous ne pouvons vous laissez que deux jours.

Avec toutes mes amitiés,
Jean VI

Venise souhaiterait que les navires que nous vous prêtons ne servent pas à lutter contre la France; dans un premier temps...
Si biensûr la situation devient critique, recontactez nous pour en reparler.

Malgré sa neutralité, Venise vous annonce qu'elle souhaite la suvie du Portugal.

Au gouvernement Francais,

VM, suite à votre dépêche et le fait que par votre position militairement, et politiquement intenable, vous vous soyez retiré de cette guerre, nous avons décider d'attendre les indémnisations pour les préjudices et dommages commis lors de cette guerre injuste et lâche.
Nous ne nous faisons toutefois pas d'illusion, si vous aviez été en position de force il ne fait aucuns doute que vous auriez continués vos péchés.

Le royaume de France tout puissant qu'il est, ne saurait déclarer des guerres selon son bon vouloir et s'en retirer sans rien attendre des conséquences dès qu'il prend peur de les perdre.

Nos flottes ont reçus l'ordre de continuer leur mouvement, mais les ordres du fait de bombarder vos villes sont pour le moment suspendus.

Nous attendons maintenant les négociations de vos indémnisations.

Cordialement,

To the King of Portugal,

It has come to our attention that your ships currently en route to Turin are carrying Maltese troops!!!

We have asked your represenative in Malta afew days ago to advise Your Majesty that the Order of Knights wanted this regiment to be repatriated at once! We now discover that you are using these troops in a war!

We consider this matter as a serious lack of respect to the Order of Knights. Are we not allowed to recall our servants?

Your Majesty, I now write to you expressingly for the purpose of recuperating our soldiers. Please return them to us at once!

Regards,

Ferdinand von Hompesch

Votre Magestée,
Nous vous demandons d'arreter cette guerre ua plus vite.
Il me semble que la prise de 3 navires Piemontais est amplement suffisant dans un premier temps pour reparer les dommages. Bien sur il faudra que le Piemont paye par la suite, mais pour cela, il faudrait que vous arretiez la guerre dans les plus brefs delais, je vous en prie.

Salutations,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volontée

VM, nous pensons qu il est tant d en finir avec les rancunes passés, et d ouvrir un enouvelle page de l histoire Neerlando-Portuguaise, comme etant plus glorieuse, et plus amicale que se que nous avons pu vivre depuis quelques mois.
VM, nous desirons etablir un rapprochement entre nos deux pays. Nous sommes conscients que nos affaires n en seront point facilitées, mais vous etes alliés a notre grand ami le Royaume-Uni et son roi Georges III.
Vous vous etes conduit heroiquement lors de la guerre entre La France et votre Etat, nos troupes vendus au RU y ont pris une part active.
VM, nous avons appris que vous demandiez du tissu de qualité. Nous vous proposons donc de vous vendre notre tissu renommé, et nous vous acheterions du vin.
Nous pensons que c est un accord qui merite d etre discuté.


Bien a vous, le ministre des affaires etrangeres de SM Guillaume V

VM, nous attendons une reponse, ou devons nous prendre votre silence pour une reponse?
Si c est le cas, vous montrez encore une fois votre mauvaise foi, nous en sommes plus que navré.


Le ministre des affaires etrangeres des provinces-Unies

Au ministre des affaires etrangeres de SM,

Nous sommes ravies de cette proposition.
Se serait en effet un grand honneur de comter le roy de Hollande et son peuple comme partenaire et amis de notre royaume, nous en serions ravies, il est plus que temps de tourner ces sombres pages de nos relations passées..Nous esperons construire de nouvelles relations amicales et cordiales qui je l'espere duront longtemps..
La conduite éxemplaire de vos régiment pendant la guerre contre la France en fu le premier pas, nous esperons bien que celui-ci n'est qu'un début.

Votre proposition nous interresse au plus au point, que diriez-vous de nous envoyer un de vos diplomates afin d'établir un traité commercial?

Cordialement,
Marquis de Plombal,
1er ministre du Roy.

VM, Le roi des Provinces-Unies est enchanté que vous acceptiez de faire un pas en avant pour construire un chemin vers l amitié qui pourrait lié nos peuples.
Nous voudrions tout d abord etablir certains point afin que l entente se deroule bien.
Pourriez vous envoyer un emissaire jusqu a Amsterdam afin que nous puissions regler ces petits details contreignants.


Bien a vous le minsitre des affaires etrangeres des Provinces-Unies

Se sera assurément avec un grand plaisir.
Nous vous enverrons Monssieur Martìn, diplomâte de SM, accompagné de nos meilleurs voeux de réussite dans cette mission.
Celui-ci sera accompagné de quelques agents pour sa sécurité et voyagera à bord d'une corvette affrétée dans les plus brefs délais.

Cordialement,
Marquis de Plombal,
1er Ministre du Roy.

Votre Magestée,
Nous voudrions vous demander de stopper cette guerre qui n'a que trop durer, faites le tant que vous etes en position de force.
Hier la France etait un grand pays, aujourd'hui, a cause de deux rois incompetants et tyraniques, elle va se faire avaler par les gens du Nord.
Arretez donc cette guerre, et aidons notre allié Catholique.

Nous avons nos territoires a reconquerir je vous le rappel.

Avec mes Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles X, par sa Volontée

Au Comte de Oporeza,

Excellence, nous serons honnoré si SM notre cousin acceptai le rôle d'intermédiaire entre la France et nous même dans de possibles négociations afin d'atteindre la paix.
Toutefois nous aurons certaines conditions, étant donné la nouvelle trahison de la France, vous comprenez que nous avons de plus en plus de mal à lui accorder notre confiance..

Avec toute mes amitiés,
Marquis de Plombal,
1er ministre du Roy.

Voila ui est fait.
Notre Roi dans sa bienveillance a ouvert une Rencontre dans le Palazzio Real de Madrid.
Nous vous demandons dy parvenir dans les plus brefs delais, et ce, sans armée aucune dans la ville meme de Madrid.
Si vous le souhaités, vous pouvez ammener une escorte qui devra etre limitée en nombre a 1 000 H et ils devront vous abandonner aux portes de Madrid, ou notre Garde Royale prendra le relais.

Bien a vous,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles X, par sa Volontée

Nous vous remercions d'accepter.
Nous viendront avec une escorte de 500 hommes.

Cordialement,

VM, Nous voulions vous informer directement de cela, nous avons appris recemment que vous etes en train d avoir une attitude plus que desinvolte, et malhonnete envers un pays qui vous a loué de bonne grace et pour une somme plus que miserable ses vaisseaux, nous parlons naturellement de Venise.
Il serait honnete de votre part de regler la somme reclamé. Montrer que vous etes honnetes une fois dans votre reigne. Nous souhaiterions correctement nous entendre avec vous, et se genre d attitude est intolerable, et montrerai bien le peu de confiance que nous pourrions vous accordez, alors que justement nous cherchons a nous rapprocher l un de l autre.
VM? Nous vous prions de bien vouloir en finir pacfiquement avec c ette affaire, ou visiblement vous vous donnez bien du tort aux yeux du monde.
Nous avons fait la meme reflexion a votre envoyé que nous venons de faire debarquer suite a la quarantaine qui a ete imposé a toute la flotte qui l accompagnait. Cela n est point une mesure de vangence ni meme de représaille, mais uniquement d hygiene et de protection en raison du cholera qui survient dans notre province de Zeelande.


Bien a vous, le ministre des affaires etrangeres de SM Guillaume V

Le ministère des finance nous a informé de son désir de payer la somme consécutive sur 2 mois, SM et moi même n'étions toutefois pas au courant, aussi avant de qualifier une quelquonque attitude de manière insultantes suffirait il de le rappeler, c'est à celà que servent nos ambassades..
De plus cette zone d'influence ne vous concerne nullement et Venise est assez civilisée pour nous répondre par elle même.
Nous comprenons bien sur vos inquiétudes.
La somme sera réglé dans les plus brefs délais.

Nous comprenons aussi vos mesures et vous félicitons de vos iniatives promptes et radicales peut-être, mais néamoins savantes et efficaces pour le moins.

Cordialement,

Je me présente: Général Poniatowski, ministre des affaires étrangère de sa majesté l'Impératrice de Russie.

Par la présente, je suis donc abbilité à gérer toute les relations diplomatiques des autres nations envers notre mère patrie la Russie.

Ainsi donc, vos ambassadeurs devront passer par moi, pour s'entretenir avec sa Grande Majesté.

Avec tout mon respect

Général Poniatowski

A l'attention de S.M le Roi Jean VI du Portugal


Votre Majesté,

Le conflit qui oppose nos deux Etats n'a que trop duré. L'inconscient Charles X et l'imprudente Régente Marie-Antoinette ont mis à mal les échanges jadis fraternels entre nos deux Royaumes, ce que je déplore au plus haut point.

En tant que nouveau Roy de France, je vous prie de croire que mon voeu le plus cher est d'arreter cette effusion de sang inutile et de sceller une Paix nouvelle et définitive avec le Royaume du Portugal.
Rien ne m'est en effet plus cher, que d'assurer à mon Pays encore étourdi de tant de malheurs un Repos des plus paisibles pour son épanouissement futur.
Cet épanouissement, il passera par l'assainissement des relations franco-portugaises.

Aussi, je vous invite à venir à la table des négociations, pour que ce malheureux différend dont nous ne sommes responsables ni vous ni moi ne nuise aucunement à nos peuples. L'engrenage des erreurs a pris des proportions telles que nous sommes bien incertains quant à l'issue finale de cette sordide guerre...

Outre la Paix, nous y évoquerons la nature future des relations franco-portugaises, ainsi que le statut Corse bien naturellement.

Veuillez croire, Votre Majesté, en mes sentiments les meilleurs.

A l'attention de Sa Majesté le Roi Jean VI du Portugal et des Algarves.


Votre Majesté,

La terrible nouvelle du séisme qui a ravagé à nouveau votre pays vient de me parvenir.
Sachez que dans votre malheur, la France tient à vous manifester sa plus profonde compassion envers les victimes de ce nouveau fléau.

Bien que nos relations diplomatiques ne soient pas au beau fixe, ce qui je l'espère ne saurait tarder de changer, sachez que le Royaume de France est disposé à vous être utile en fonction de ses moyens si le besoin se fait sentir.

Bien Vôtre,

Louis

Une lettre cachetée du sceau de Venise arrive au Palais:

Très Grand Pedro IV,

C'est bien tard que je vous écrit pour vous faire part de mes encouragements et de mes félicitations pour votre accession au trône du Grand Pays qu'est le Portugal.

Je suis navré par la nouvelle de la mort prématurée de feu son Altesse Dom Joao VI, que j'estimais particulièrement. J'espère de tout coeur que nos relations seront aussi bonnes, voire meilleures.

Le Portugal connait une crise difficile qui le met à rude épreuve; deux souverains morts en moins de deux ans, un nouveau tremblement de terre apocalyptique, des guerres menées par des barbares. Vous avez aujourd'hui la mission de mener le Portugal hors de cette crise, et je serais heureux de pouvoir vous aider.

Respectueusement

Nous proposons au Très Fidèle et Puissant et Iluminé Roi Pedro IV du Portugal une alliance militaire pour conquérir l´Italie, prometant après la victoire de l´aide venus de mon future Royaume.

Lettre à l'attention de S.M Pedro IV du Portugal


Sa Majesté Louis XVIII de Bourbon, Roy de France et de Navarre, Vous prie de venir l'honorer de Votre présence en assistant en la Cathédrale de Reims le 20 Février de l'An de Grâce 1782 au Sacre et à la Messe qui sera donnée à l'occasion de son accession au Trône de France.

La suite des festivités se tiendra à Versailles.

Louis

Votre Majesté,

j'apprends à l'instant votre décision de quitter les négociations de Paix qui se déroulent actuellement à Madrid.

Pour quel motif? Mon homme de confiance le Marquis La Fayette y est présent depuis près d'un mois comme je l'avais au prélable annoncé. Pour que des négociations puissent débuter, encore faut-il que des propositions venant de Votre Couronne me soient adressées. Quelles sont vos revendications? Quel effort êtes-vous prêt pour conclure la Paix avec le Royaume de France? Vous y étiez avant moi, et je n'ai aucune offre...

Si je ne m'abuse, dans ces temps troublés pour mon pays, j'ai fait mon mieux possible pour régler les affaires urgentes du Royaume, afin de me rendre personnellement à Madrid où je loge depuis désormais 5 jours.

Et qu'apprends-je? Que Votre Majesté rappelle ses plénipotentiaires alors que le débat est sur le point de prendre forme? Ni Vous ni Moi ne sommes responsables de ce tragique conflit. Par conséquent, j'ose espérer que des deux côtés la Volonté de conclure la Paix prendra le dessus sur les passions qui peuvent par moment nous égarer.

Je suis tout disposé à discuter avec vos représentants, et me consacrerai entièrement à notre différend tant qu'une solution pacifique n'aura été trouvée.

J'attends ardemment votre réponse.

Louis