Ministère des Affaires Etrangères

Citation :

tout comme vous meme vous melez daffaire catholiques loin de votre zone dinfluence

nous n parlions pas de cette crise mais de crises anterieures.
Nous vous faisons donc confiance et nous vous laissons gerer la situation, cependant sachez que les troupes prusse sont rentrees dans le pays, cest pourquoi nous ne pensons pa snecessaire que 30 000 e plus soit necessaires. Si vous aviez esoin de renforts, vous saurez a qui vous addresser
bien a vous

Votre Majesté Impériale,

J'ai reçu avec grand plaisir votre invitation de pour-parlers, et je m'y rendrais, en esérant que la paix et le contentement des Wurtenbourgeois en débouche.

Fort Cordialement,

Nous vous remercions de nous convier a la reunion. N?ous respecterons votre proposition, cependant, sachez que vous parlez au noms des allemands quand vous dites quils ne tolereraient pas notre participation. Si ces derniers montrent un interet a nous voir participer activement nous le ferons. Mais vous savez tres bien quel est notre objectif, je ne pense pas que ce sois la peine de le rappeler. Ceux de SM saxxone et prussienne etant les memes, nous pensons que le simple poste dobservateur nous suffit

Bien a vous

Bonjour Messieur,

Je suis le Baron de Breteuil, Envoyé de SM Charles X auprès de vous. J'ai pour mission de récupérer notre Ancien Ministre de la Marine Louis Sartine qui va bientôt, si ce n'est pas déja fait, entrer sur votre territoire. Je demande aussi à voir votre neveu, le Fils de Louis XVI, et à le ramener en France (HRP: je rapelle que ce n'est qu'un enfant à cette époque là). J'éspère que vous n'y verrait pas d'inconvéniant.

Baron de Breteuil, Aide de Camp de SM Charles X

Après une longue attente, un laquais sortit du Bureau du Comte von Kaunitz, Ministre Impérial des Affaires Etrangères, et s'approcha du Baron de Breteuil.

Son Excellence est occupée et ne peut actuellement vous recevoir. Elle m'a toutefois prié de vous dire que Son Altesse Impériale et Royale Joseph II désire garder Sa Majesté le Dauphin de France Son neveu avec lui, afin de parfaire son éducation, Son Altesse ne désirant point de surcroît voir Son neveu décapité comme il le fut pour Son beau-frère Louis Le Seizième.

Quant au Ministre de la Marine, qui d'après nos informations a fui la France en signe de profond désaccord avec votre Roi, Son Excellence pense qu'il est libre de faire ce qu'il veut, et que toute personne compétente a droit d'entrer en Autriche.

Ceci dit, le laquais salua et partir vaquer à ses occupations à grands pas, laissant le comte s'en retourner seul.

Votre majeste,

Nous souhaiterions vous acheter de lor. Seriez vous enclin a nous envendre?

Amicalement

Nous souhaiterions aussi savoir si vous controllez toujours la situation au Wurtemberg. Lentree des troupes prusiennes et la mise en alerte de larmee danoise a la frontiere nous font redouter des debordements frontaliers. De nombreux suisses habitant a la frontiere du Wurtemberg souhaitent aider leurs freres protestants wurtembourgeois. Jusquici nous arrivons a les empecher de rejoindre la rebellion, mais nous esperons de tout coeur que vous arriverez a debloquer la situation sans passer par un bain de sang

Salutation cher voisin!
Votre réunion est une bonne chose,et j'y serai dés que celle là aura lieu.Nous devons trouver un lieu sûr pour tout le monde et neutre.
J'attend donc d'avantage d'informations concernant cette réunion.
Bien à vous,

[

Citation :

À SM par la grâce de dieu tout puissant, Roy de France et de Navarre.

Nous portons à la connaissance de SM royale le Dauphin, susnomé Louis le 17e, roy de France et de Navare par la grâce de Dieu, que nous royaume de Portugal et d'algarvess, Duché de Brunswick, reconnaissont en sa personne le seul et unique roi de France, digne descendant de ces ayeux.
Le soutiendrons pour son accession au trône, de même que l'hêritage auxquel il est légitimement en droit de revendiquer.
Puisse l'Usurpateur être chassé et le trône de France retrouvé son Roy.
Puisse Dieu dans son infinie clémence sauvegarder nos royaumes des tourments qu'ils vont subir.

Vîve le Roy!
Marquis de Plombal,
1er ministre du Roy.

[/center]

A Sa Majesté Impériale, mon Frêre,

Mon Frêre, sachez qu'après que j'ai annoncé au Roi Dom Joao VI que la France se retirait de cette guerre, celui-ci n'a point annulé ses ordres et donc, à partir de maintenand, ce n'est plus moi qui l'attaque mais bien lui qui m'attaque. Je vous en conjure mon fêre, protégez-moi, pour l'amour de Dieu.

Cordialement,

Majesté,

Il y a de cella quelques semaines vous avez fait part de votre desir de participer aux discutions commerciales qui se deroulent actuellement a Venise.
hors votre Majesté n'a toujour pas designé de representant pour representer l'Empire d'Autriche a ce congres.
votre envoyé sera acceuillit avec joie par tout les paticipants.

Avec Respects,


Ferdinand

SM Joseph II,
J'aimerais que mon duché se dote de semblables institutions aux vostres.
Cordialement,

VM,

Nous ne vous avons pas felicite pour votre action au Wurtemberg. Nous etions tres mefiant envers vous, mais vous nous avez montre que nous avions tort.
Bon travail!

A SMI Joseph II

Nous pensons qu'il est temps d'oublier les vieilles rancunes que nous avions en commun autrefois, il est désormais temps de regarder vers le futur et d'oublier le passé, nous pensons que l'Autriche a besoin de nous tout comme nous avons besoin d'elle.

Je me permet donc d'organiser une rencontre entre moi et vous ou un de vos émissaires à Danzig afin que nous discutions de l'avenir de nos relations.

Qu'en pensez vous?

Je veux bien comprendre votre crainte et suis prêt à vous laisser le temps nécèssaire pour réfléchir à celà. J'ose èspérer cependant qu'a la fin de la guerre contre la France nous pourrons bien nous rencontrer.

Bien à Vous

Je me présente: Général Poniatowski, ministre des affaires étrangère de sa majesté l'Impératrice de Russie.

Par la présente, je suis donc abbilité à gérer toute les relations diplomatiques des autres nations envers notre mère patrie la Russie.

Ainsi donc, vos ambassadeurs devront passer par moi, pour s'entretenir avec sa Grande Majesté.

Avec tout mon respect

Général Poniatowski

Votre exellence,
Mes troupes doivent combattre l'envahiseur prussiens, pour cela j'aimerais que vous ayez l'extreme bonté de m'accorder un droit de passage pour mes troupes, elles ne se livront pas aux pillages sur vos terres et suivront vos lois.
Cordialement,

Lettre à l'attention de S.M Joseph II d'Autriche


Sa Majesté Louis XVIII de Bourbon, Roy de France et de Navarre, Vous prie de venir l'honorer de Votre présence en assistant en la Cathédrale de Reims le 20 Février de l'An de Grâce 1782 au Sacre et à la Messe qui sera donnée à l'occasion de son accession au Trône de France.

La suite des festivités se tiendra à Versailles.

Louis

Un message arrive sous la houlette de l’ambassadeur britannique

« Message de Sa Majesté Georges III aux belligérants du conflit dit de « Seconde guerre du Nord » à savoir Ses Altesses royales, impériales, ducale, hautesse, électeur et Président :
- Paul Ier, Tsar de toutes les Russie
- Joseph II, Empereur d’Autriche
- Gustave IV Adolphe, Empereur de Suède
- Stanislas II, Roi de Pologne
- Christian VII, Roi du Danemark
- Frédéric-Guillaume II, Roi de Prusse
- Charles II, duc du Wurtemberg
- Abul Hamid 1, Sultan de l’empire Ottoman
- Frédéric-Auguste III Electeur de saxe
- Charles IV de Bade, Electeur du Margraviat de Bade
- Johann Lukas Legrand, Président de la Confédération Helvétique

Messieurs,
Depuis le 20 décembre 1781, des hommes tombent, des femmes sont veuves et des enfants orphelins. L’Europe est à feu et à sang, les sujets de 11 nations subissent la peur, la faim et la haine de leurs voisins.
Et Vous ?
Ne pensez-Vous pas que tout ceci n’est que folie qui naît dans l’esprit des hommes et le cœur d’ambitieux égoistes, car, oh non Messieurs, ceux qui font la guerre avec autant de mépris pour le sort de leur propre peuple n’ont pas de cœur !
Le sang ne nourrit pas la terre, ne cultive pas les champs, ne travaille pas dans les manufactures ou les mines. Que vont devenir Vos Sujets lorsqu’il ne restera que des ruines ?
Cessez Messieurs, cessez et raisonnez, Messieurs en Hommes et non en bêtes !
C’est pourquoi, en père éprouvé par la perte de sa fille, en souverain épris de justice et d’équité, en homme tout simplement, je Vous invite à Vous interroger et réfléchir au sens de ce carnage.
Asseyez-Vous à une table de négociation et en réglez ce conflit en hommes d’honneur, conflit qui n’a que trop duré.
La Couronne Britannique, impartiale, Vous prêtera assistance en tant que de besoin, comme amiable compositeur, si Vous le jugez nécessaire.
Dieu bénisse la paix !

Georges III, Roi de Grande Bretagne, d'Irlande, de France et Electeur d'Hanovre »