Congrès de Venise

Invité

L'Amiral écouta ces réponses sans broncher puis se leva

"Messieurs, je pensais être ici non pas pour rigoler ou me moquer des autres représentant, il s'interrompit et eu un regard appuyé pour le représentant autrichien, mais pour définir les clauses d'une Ligue Commerciale. Et vous osez dire que vous n'avez pas proféré de menances anvers le Piémont? il s'interrompit de nouveau et eu un autre regard appuyé pour le représentant espagnol. Mais puisque vous le voulez j'essayerai d'être plus décontracté demain.

Il se leva ensuite et parti en saluant les différentes négociations

Invité

Au Nom du Peuple du Royaume de Piémont-Sardaine, Moi Charles Albert I demande pardons aux États de cette Ligue, et voulons absolument faire partie de la Ligue Commerciale. En effect nous voulons la prospérité et la Paix en toutes choses.

Le représentant de Venise sourit et dit :

"Comme l'a dit le Doge avant son départ, nous pardonnons mais n'oublions pas, tout est dit.

Mais nous sommes ravis de votre démarche et espérons que désormais vous serez plus calme dans nos discussions."

l'esquise de traité proposé par le consul de genes nous semble une tres bonne base de depart pour l'elaboration d'un traité plus consequent et nous l'en remercions..
Pour notre part nous soutenons son exelence le Doge de Venise qui avait proposé comme nom pour notre association "Ligue des Italiens",mais cella n'est qu'un detail.

Nous pensons en outre qu'il doit etre obligatoire aux membres de se fournir le uns les autres du moment que les tarif proposés sont ceux du marché.
en outre nous estimons necessaire de formaliser notre colaboration aupres des monarchies Espagnoles et Autrichiennes.Les engagements reciproques etant bien sur a negocier...

nous proposons egalement la cretion d'un "office marchand Italien" dont le but serais de centraliser les achats des pays membres.Ainsi, par exemple, si le besoin global des membres est de 50t de fer,l'office fera un achat global( avec peut etre des reductions...) et redistribura a chacun la part qui lui est due.(chacun payant ce qu'il doit bien sur).

De plus nous pensons que ce traité doit avoir une durée determiner,par exemple 5 ans nous semble convenable.

Invité

Au petit Matin, quelques minutes avant la reprsie du congrès, Un cortège excortait par quelques Gardes du Corps Gênois arriva en vue du Palais. Il comprenait une dizaine de notables Gênois formant la délégation Gênoise, maintenand au complet sous la présidence de l'Amiral Chiavari.

L'Amiral écouta attentivement les paroles du Représentant Piémontais, puis de Venise et enfin du Représentant Sicilien

"Pour commencer, nous sommes très heureux de la solution prises par le Piémontais, et j'y vois là une intervention de mon Doge. nous vous avais-je pas dit que Gênes saurait ramener Charles-Albert Ier à la raison?
Nous remercions le Représentant Sicilien, car si ce traité est quelque peu... compliqué, nous au moins nous en avons fait un et très rapidement. Pour l'obligation de commercer avec les membres de la Ligue, nous sommes divisés sur ce sujet. Cela permet de donner un vrai sens à la Ligue, mais il faudrait rendre ces échanges obligatoires SEULEMENT si les denrées demandés peuvent être fourni par les membres ou partenaires de cette Ligue. Cela me semble un bon compromis. Pour l'office marchand Italien, nous pensons que cela est une bonne idée. Reste encore à trouver par qui serait-t-il commandé?"

Pour l'obligation de commercer, cella ne conserne evidement que les denrées produites sur le sol Italien,les autres devant etre importés,d'ou l'importance que nous accordons au partenariat avec la courronne Espagnole et l'Empire d'Autriche.

En ce qui concerne l'office,nous suggerons une direction collegiale,1 membres par pays, afin qu'aucun ne puisse en user a son profit exclusif

Invité

Pour notre part, aucun autre pays Italien ne possède ce que nous avons besoin. Par contre, l'Autriche et l'Espagne possèdent toutes deux toutes les denrées que nous demandons, en effet. Mais nous nous posons une question: en plus de construire une ambassade pour chaque état membre de la Ligue, nous devrons aussi construire une ambassade pour l'Espagne et l'Autriche? Il serait préférable de ne construire une ambassade avec ces pays que si nous en avons besoin et qu'avec le pays ayant les denrées qui nous manque. L'evidence est que ce problème d'Ambassad est très pénalisant pour la plupart d'entre nous. Gênes à sa petite idée sur la question, mais pour l'instant, je m'abstiens de la dévoiler.

La déléguation ne préta pas spécialement attention aux derniers propos; elle se prépare à distribuer et lire son projet de traité. Après quelques échanges de papiers, Frederico Lorédan se lève, fait distribuer les textes et dit :

"Messieurs, voici le texte de traité dont nous parlions:

Citation :: PARTIE I
Des orientations du traité et des contraintes et droits qu’il impose

Article1er a : Le présent traité a pour but de donner une assurance économique et commerciale aux états de la péninsule italienne ainsi qu’aux états du Saint-Siège, par la création d’une ligue.

Art 1er b :le présent traité instaure la Ligue Des Italiens; cette ligue est le résultat des discussions entre les états collaborants(EC), c’est-à-dire la République de Gênes, l’Ordre de Malte, le Royaume du Piémont, les Etats du Saint-Siège, le Royaume de Sicile et la République de Venise, l’Archiduché d'Autriche, les Royaumes d'Espagne et de France.

Art 1er c : La LDI a pour membres(EM), par ordre alphabétique, la République de Gênes, l’Ordre de Malte, le Royaume du Piémont, les Etats du Saint-Siège, le Royaume de Sicile et la République de Venise.

Art 1er d : Les membres associés(MA) à la LDI sont, par ordre alphabétique, l’Archiduché d’Autriche et les Royaumes d’Espagne et de France.

Art 2e : Ce traité n’engage direstement aucun accord d’échanges ; il n’impose que l’obligation aux Etats membres de privilégier le commerce entre eux, au point que, si un des E M aurait la possibilité d’écouler toute sa production mensuelle auprès des autres EM, il puisse le faire en en faisant la demande. Cela à la sule condition qu’il ait le monopole de la production de cette ressource parmi les EM.

Art 3e : Chacun des EMse voit dans l’obligation de satisfaire au maximum ses besoins en importation auprès des EC.

Art 4e : Chacun des EC se voit dans l’obligation de privilégier les autres EC en se qui concerne ses exportations et ce jusqu’à un niveau de 25% de sa production susceptible d’être exportée par province.

Art 5e a : Chaque EM evra entretenir à ses frais une ambassade (ou nonciature) pour chacun des autre EM; les ambassades des MA seront entretenues par eux mêmes.

Art 5e b : La fermeture d’une ambassade d’un EM entraîne l’exclusion de la LDI pour les EC.

Art 5e c : la fermeture d’une ambassade d’un MA entrîne la rupture des échanges directs entre le membre associé concerné et l’EM ayant fermé l’ambassade.

Art 6e : le présent traité impose aux EC l’obligation morale et spirituelle de soutenir n’importe quel EC de la LDI sur le plan diplomatique et sur la scène internationale si celui-ci se retrouve menacé, tant militairement que dans ses relations commerciales.

Art 7e : Si un différent entre EM, entre MA ou entre un ou plusieurs EM et un ou plusieurs MA existe, l’article 6e du présent traité ne s’applique pas.

Art 8e a : Chaque EC n’a aucun droit d’ingérence dans les affaires de tout ordre des autres EC.

Art8e b : Chaque EC garde une absolue souveraineté dans la totalité de ses affaires ; cela dans la mesure du respect des articles du traité.

Art 8e c : Chaque EC devra présenter en toute clarté et selon un schéma déterminé et identique pour tous ses comptes ainsi que le bilan de ses importations, exportations et réserves ; cela mensuellement.

Art 9e a : Des aides financières peuvent être accordées à un Etat nécessiteux faisant partie des EM si le collège des délégations des autres EM l’approuve ; la nature du don ainsi que les obligations qui répondent à cette aide seront décidées par ledit collège .

Art 9e b : Ledit collège ne pourra imposer la perte de territoire ni un tribut de plus de 10% des productions exportables de chaque province, ni une exclusion de la LDI, ni aucune obligation d’ordre militaire ou diplomatique, ni aucune décision vis à vis du régime.

PARTIE II :
De l’organisation du traité

"Cette partie ne vous ai pas présentée du fait de l’absence à cette heure de discussions avancées sur l’organisation du présent traité ; cepandant, nous posédons un exemple prêt à vous être soumis ; mais nous souhaitons d’abord que la partie I du traité soit examinée minutieusement par tous, et ensuite analysée et débatue, si besoin est.

Invité

La délégation lut attentivement le projet de Traité puis les membres de la délégation discutèrent entre eux pendant quelques minutes. Enfin, l'Amiral Fabiano Chiavari prit la parole:

"Nous sommes très content de ce Traité que vous nous proposez. Il est complet, et nous n'avons pratiquement rien à dire dessus, pratiquement rien à rajouter pour l'instant. Cependant, nous n'avons pas très bien saisi le sens de l'Article 5e.b. Il est logique que si un EM ferme l'Ambassade d'un autre EM, l'Em ayant fermer l'Ambassade ne peut plus faire partie de la Ligue. (HRP: c'est dans les rêgles^^) Je pense donc que cet article n'a aucune valeur, sauf si il veut dire que les deux EM impliqué, celui qui a fermé l'Ambassade, et celui dont l'Ambassade à été fermée sont "limogés" de la Ligue. Si c'est le cas, nous pensons que c'est injuste pour l'EM dont l'ambassade à été fermée. Maintenand, nous attendons la réponse des autres délégations.

Empereur d'Autriche Nombre de messages : 712 Date d'inscription : 02/10/2005

Nous serions gré à Son Excellence Paoloe Renier de rectifier le plus rapidement possible que Son Altesse Impériale et Royale est maître de l'Empire d'Autriche, qui fut déclaré il y a nombreux mois, Empire qui comprend l'Archiduché d'Autriche. Nous attiburons cette erreur à une innatention bégnine de la part de Votre Excellence.

Il nous faut certes un peu plus de temps pour étudier cette ébauche dans ses moindres détails, toutefois nous croyons déceler dans l'article 6 la mention à une aide militaire. Ceci ne ferait-il pas de la LDI une alliance militaire ?

Invité

"Non, il ne s'agit pas de cela mais d'une aide politique si un EM est menacé militairement, il ne s'agit point d'une aide militaire. De plus, si nous n'avons pas de relations "privilégiés" avec le pays attaqué, nous ne serons pas obligés de remplir cette cause. Mais vous avez quand même raison d'une certaine façon, car cela peut nous mettre en péril si le pays que nous soutenons se fait battre, c'est ensuite logiquement à nous que le pays attaquant s'attaquera. Je vous remercie donc de nous avoir fait remarquer cette clause, et nous demandons à ce qu'elle soit enlevé. Si deux pays entretiennent de bonnes relations, il est de toute façon normal qu'ils s'entraident."

"Nous sommes heureux de voir que le traité vous satisfait globalement. Vos remarques sont a considérer, nous allons les étudiez et vous représenter les articles concernés par vos remarques sous une autre forme ou avec un autre fond...

De plus, après discussions et réflexions, nous nous demandons s'il ne pourrait y avoir quelques ajouts... mais nous vous proposerons notre nouveau travail à la prochaine scéance. Merci."

Nous, représentant de Sa Majestée le Roi Charles IV, nous sommes d'accord avec les articles globalement.
Il nous tarde maintenant de voir la seconde partie du Traité.

Avec nos Amitiés,

Comte de Oporeza, Ministre des Affaires Etrangeres du Roi Charles IV, par sa Volonté

Une nouvelle parvient alors à l'assemblée réunie en Congrès : Les représentant français sont arrivés sur la place Saint-Marc. En effet la France a été conviée par le Doge de Venise et le Consul de Gênes à venir participer à la table des négociations. Le Roy Louis s'est alors empressé d'y dêpecher ses hommes les plus expérimentés, afin que la France puisse contribuer par sa présence à l'embellissement du Traité à venir.

Frédérico Lorédan se leva pour accueuillir la déléguation française

"Bienvenu Messieurs !

Au nom du Congrès, je vous souhaite la bienvenue !

Je suis heureux que la France ait enfin retrouvée une stabilité ploitique suffisante pour avoir le temps et les moyens de s'investir dans l'élaboration de notre traité.

Il n'est nul doute que vous serez pour beaucoup dans la bonne marche de LDI; vous serez de très bons partenaires, si j'en crois les paroles du Doge.

Donc, bienvenue encore une fois, et que nos discussions soient productives !

Enfin, pour répondre à la déléguation espagnole, je souhaiterais dire tout d'abord merci pour votre acceptation de cette partie mais aussi d'attendre un peu pour voir la suite; il se passe actuellement des événements qui nous forcent à attendre quelques temps.

En attendant, occuppez vous avec le carnaval ! (^^)"

Invité

La Délégation se leva pour saluer leurs compatriotes Français.

"Bien. Messieur, le Piémont-Sardaigne n'ayant pu envoyer de délégation, Gênes la representera.

Je vous informe aussi de la Décision de Malte de faire parti de la Ligue, mais je pense que sa délégation arrivera bientôt pour vous le dire elle-même.

Nous pouvons donc commencer à dévoiler la Seconde Partie du Traité si personne ne voit d'inconvénient. Si vous préférez attendre, nous aimerions savoir de quels événements parlez-vous?"

"Eh bien, il s'agit d'un traité que nous attendons...
Il est crucial et il rentre directement dans le cadre de la deuxième partie..."

Invité

"Hum... laissez moi devinez voulez-vous?...
Un Traité qui fait de Venise le port Commercial de l'Autriche? Ou alors un Protectorat sur la Corse?..."

"Vous êtes clairvoyant, mais vous n'y êtes pas; cela dit, un peu de patience et vous saurez"

Invité

Moi, Ferdinand Von Hompesch, je represente l'Ordre de Malte à ce congres.
La premiere partie me convient et me satisfait, j'espere que la seconde partie sera aussi satisfaisante qu'attendue.

Invité

"Messieur, nous désirons finalement discuter sur un point de ce Traité:

Nous pensons que vu que le Saint-Siège ne peut que acheter (ou que vendre?) à l'Empire Autrichien, il ne peut pas être Membre à part Entière, mais seulement membre associé, avec le rang de Membre à part entière pour l'article 5a."

Invité

En effet ce detail m'avait echappé, quelle erreur de ma part!
Je suis totalement d'accord avec le fait que le Saint Siege ne peut pas etre membre à part entière, mais seulement membre associé, pour les raisons exposées par mon homlogue génois

"C'est ne effet un point à étudier; remarque jusdicieuse...
Nous pensons qu'il faudrait éviter les statuts particuliers, ainsi il faudrait décider si le Saint-Siège sera MA ou EM.

La déléguation du Vatican désire-t-elle dire quelque chose à propos de cette remarque?"

Nombre de messages : 306 Date d'inscription : 22/12/2005

Selon les clauses de vostre traité, le Saint Siège ne sera que membre associé puisque un traité commercial nous lie avec l'Empire d'Autriche. Cela nous convient.

"Soit, alors le Saint-Siège sera MA.

Nous avons donc, comme Etats Membres:
-Gênes
-Sicile
-Piémont
-Venise
-Malte

Et comme Membres Associés :
-Autriche
-France
-Espagne
-Saint-Siège

Lors de la publication du traité définitif, les listes des EM et des MA seront remis à jour."