Congrès de Venise

Le Comte Vergennes prit à nouveau la parole:

Messieurs, je viens de recevoir à l'instant une lettre de mon Roi me demandant de prendre la route de Milan afin d'y rencontrer SAI Joseph II. Je laisse le soin au Comte Turgot, Ministre de l'économie du Royaume de France, de continuer à défendre la position de la France dans la réalisation de la future Ligue italienne.

Et le Comte de s'éclipser...

Invité

Une lettre arriva au main du Vice-Consul,il la lut,et prit un air stupéfait.Il se leva.

Je dois me rendre à Gênes,des affaires urgentes m'apellent.

Il partit en trombe.

Empereur d'Autriche Nombre de messages : 712 Date d'inscription : 02/10/2005

Fatigué par les discussions qui s'éternisaient depuis tout le jour, le comte von Kaunitz, chanceleir d'Autriche, partit pour sa résidence dans la ville de Venise prendre du repos pour la nuit, avec son escorte. Il reviendra le lendemain pour reprendre les discussions.

Un délégué français prit alors la parole :
Messieurs, le départ précipité du Vice-Consul ne nous inspire pas confiance. Nous pensons le Congrès en danger, aussi nous demandons à stopper la séance pour pouvoir nous retirer le plus vite possible...

Et sur-le-champ les délégués français de quitter le batiment dans la précipitation...

Invité

Après une discussion animé parmi les délégués restant, ceux-ci se levèrent et allèrent se placer au milieu de la pièce. Puis, subitement, ils tirèrent chacun de leur manteau deux pistolet et blessés deux des délégués gardes présents dans la salle, jouant sur l'effet de surprise. Ils se firent ensuite descendre par des gardes, mais leur mission était réussi!

Après la tentative d'attentat de la déléguation génoise,qui a choqué profondément toute personne civilisée, le Congrès est ajourné.

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